1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1169)


    Datte: 25/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1156) -
    
    Et après la longue soirée que je venais de vivre, je ne tardais pas à m’endormir, en chien de fusil, sous les mains du Maître de ma vie et de mon cœur, qui me caressait comme Il l’aurait fait avec une vraie chienne animale… Plusieurs jours plus tard, alors que j’allais m’installer sur ma chaise godante, je vis sur le clavier de mon ordinateur un petit carton crème frappé des Armoiries de la Famille des Evans. Je me mis à genoux pour le lire. Une seule phrase :
    
    « Va dans la salle d’habillement ».
    
    Je supposais que j’allais avoir un rdv à l’extérieur. Tout en me rendant rapidement dans la pièce indiquée, je me demandais sans m’y attarder, ce que j’aurai à faire, s’il s’agissait juste d’une mission pour la secrétaire particulière de Monsieur le Marquis, ou si c’était l’esclave MDE qui devrait obéir. A moins que ce ne soit un mélange des deux ?, pensais-je en souriant… Il n’y avait personne, seulement une robe noire et blanche, courte, se fermant au niveau du cou par deux longs pans de tissu partant d’un gros anneau entre les deux seins au-dessus d’un haut bustier, sans sous-vêtements évidemment, avec une paire d’escarpins noirs. Alors que je me tournai vers une psyché, j’aperçus un nouveau carton :
    
    « Laisse tes cheveux libres. Rejoins le perron debout. ».
    
    Comme toujours sauf contrordre, je portais mes cheveux noués en une queue de cheval, ainsi toujours prête à me faire saillir de la manière que préférait le ...
    ... Maître qui adorait empoigner de cette façon mes cheveux. J’éprouvais toujours autant de gêne à me déplacer en bipédie et habillée dans les couloirs du Château, surtout lorsque je croisais un frère ou une sœur de soumission. Je croisais aussi Marie, la cuisinière perverse, et je baissais autant que possible la tête. Je n’entendis qu’un ricanement carnassier, accompagné d’un ironique :
    
    - Tiens, cette salope de chienne est de sortie, on dirait !
    
    Je supposais qu’elle avait dû me dévisager, avec son air hautain, de la tête au pied, me voyant me déplacer en bipédie. Puis, elle continua son chemin, tirant derrière elle, le tenant par l’oreille, un soumis grimaçant qui avait certainement dû faire une chose qui lui avait déplu… Arrivée sur le perron, je vis la Rolls du Maître garée devant et Walter qui attendait à côté de la porte arrière. Je descendis les marches et il m’ouvrit la porte avec un sourire chaleureux. C’était un fait rare ! On aurait dit qu’il était tout heureux à ce moment-là, et pour la première fois, je me demandais sérieusement ce qui m’attendait. Quand je baissais la tête pour entrer dans la voiture, je vis la main du Maître se tendre vers moi pour m’aider. Aussitôt je baissais les yeux, et j’allais m’agenouiller entre la banquette arrière et les sièges avant, quand Il m’arrêta :
    
    - Ma chérie, c’est ma future femme que je veux voir près de Moi, pour le moment ! Oh ne t’inquiète pas, le Maître n’est pas loin, et tu retrouveras vite ta place que tu affectionnes ...
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