1. Dialogue sans parole


    Datte: 15/04/2019, Catégories: fh, couple, hdomine, Oral pénétratio, fsodo, exercice, québec, fsoumisah, Auteur: Tiok, Source: Revebebe

    Il était là, dans la porte, ses cheveux trempés par la pluie. Elle leva les yeux vers les siens. Il planta son regard gris au fond de son âme. Ce qu’elle pouvait y lire lui coupait le souffle. L’intensité de cette conversation silencieuse lui faisait craindre le pire, la fatalité d’un désir qui était implanté trop avant pour être délogé. Elle avait reculé jusqu’à heurter le mur derrière elle. Son souffle était court. L’humidité entre ses cuisses pouvait difficilement être ignorée. Il la fixait toujours de ses yeux intenses. Le lien qui unissait leurs regards vibrait d’un désir presque palpable.
    
    Ses genoux fléchirent, c’était le signal qu’il attendait. En deux enjambées il fut sur elle, la plaqua contre le mur à l’aide de son corps qu’elle devinait sous la chemise trempée. Il plaqua sa bouche contre la sienne, leurs langues se dévorèrent, intimant à leur corps de faire de même. Elle gémissait, ondulait. Il la maintenait de tout son poids contre la paroi. Il remonta la main le long de sa cuisse, sous le tissu fin de la robe de chambre. Il atteignit la fesse ronde, changea d’idée, redescendit jusque sous le genou, l’agrippa brutalement et le plaqua contre sa hanche. Sa jambe ainsi relevée ouvrait l’accès de son entrecuisse qui frottait délicieusement contre le tissu rêche du pantalon. Ses plaintes soupirées suppliaient qu’on la libère de ce désir insoutenable. Elle faisait aller son bassin contre les jambes hostiles qui lui refusaient un plaisir trop facile.
    
    Il laissa ...
    ... aller le genou, la retourna violemment contre le mur. Une main entre ses omoplates écrasait sa poitrine contre le plâtre froid. Il arracha sa robe de chambre. Elle l’entendit défaire sa ceinture. Son corps revint s’écraser contre le sien. Il empoigna ses mains, d’un mouvement circulaire les fit s’élever au-dessus de sa tête. Il maintenait les poignets prisonniers contre le mur au-dessus d’elle. Son visage se perdait à l’intérieur de son cou, sa barbe de plusieurs jours raflait la peau fragile que ses dents mordillaient sans ménagement. De sa main libre, il explora l’entrejambe trempé pour se retirer aussitôt. Il lui montra le foutre luisant sur ses doigts qu’elle enfonça aussitôt au fond de sa bouche.
    
    Ses lèvres à lui s’écrasaient contre la nuque, il lâcha enfin ses poignets douloureux. Ses mains larges lui empoignèrent la taille qu’elles maintenaient toujours fermement contre le mur. Sa bouche commença à descendre lentement contre la colonne vertébrale. D’un pied impatient il écarta ses jambes. Sa langue caressait chaque vertèbre. Elle était au supplice et suppliait maintenant sans retenue. Il lécha ses fesses, lentement, puis, enfin, sa bouche se colla sur la région humide, l’avala presque en entier, s’abreuva de son jus épais. Il l’embrassait sauvagement, mordait, léchait, fouillait. Elle criait, voulait qu’il l’empale, la remplisse, fort, sans tendresse.
    
    Il s’était relevé, elle se retourna vers lui, il la souleva par les hanches comme si elle avait été une poupée de ...
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