1. La Princesse des Neiges Ch. 01


    Datte: 15/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byYuki K., Source: Literotica

    Kusanagi
    
    L'ancienne icône Yuki Kusanagi (alias "Princesse des Neiges"), raconte sa soumission à Maîtresse Reiko, devant une caméra.
    
    Mon nom est Yuki Kusanagi, mais je me faisais appeler la « Princesse des Neiges », parce que « yuki » veut dire neige et que ma peau est d'un blanc diaphane. Mes cheveux sont super noirs, le contraste est surprenant. J'ai des lèvres assez pulpeuses pour une japonaise, et pour accentuer encore le trait, je porte toujours un rouge à lèvres écarlate. Avec mes petits yeux et la courbe (naturelle) de mes sourcils, je peux avoir l'air assez effrayante quand je veux, ce qui m'a bien servi. Quand je travaillais, je choisissais toujours des tenues entièrement blanches, et mes « instruments » étaient blancs eux aussi ; du cuir blanc. Plus d'une fesse a rougi sous mes outils blancs, aussi bien à l'écran qu'en dehors, mais à mes débuts, c'est à l'autre bout du fouet que je me trouvais.
    
    Je n'ai jamais voulu utiliser le titre « Maîtresse ». En partie parce que Reiko, ma Maîtresse, avait toujours été « Maîtresse Reiko », et aussi parce que j'aimais qu'on m'appelle « Princesse ». Mes esclaves m'ont toujours appelée Princesse Yuki. Ils me disaient : « Oui, Princesse Yuki », « Non, Princesse Yuki », ou « Comme vous voulez, Princesse Yuki ». Et puis je les battais quand même. Putain, j'adorais ça. Je les imaginais en vilains petits garçons qui venaient de se branler en regardant une des vidéos d'écolière porno que j'avais tournées avant de devenir une ...
    ... dominatrice.
    
    Vous pensez que les hommes qui regardent ces trucs sont tous des pédophiles? Je veux dire, une fois que vous ne trompez plus personne dans un uniforme d'écolière, et à moins que vous n'ayez de superbes nichons, ou que vous décidiez de passer au SM, vous pouvez tirer un trait sur votre carrière. J'ai commencé par le bondage, alors je n'ai pas eu de mal à y retourner, d'autant plus que cette fois, c'était moi qui maniais le fouet.
    
    L'histoire que je veux raconter ici, c'est celle de ma première expérience d'esclave. Reiko était ma Maîtresse. On s'était rencontrées dans une boîte de Shinjuku, une mauvaise imitation du Juliana's, alors que mon amie Rie et moi participions à un concours de bodycon (un concours de « beauté »).
    
    La plupart des filles avaient l'air d'entraîneuses de bar (un look que je connaissais bien, grâce à Maman). J'avais choisi un autre style. Je portais un dos nu de cuir noir, une minijupe de cuir noir fendue jusqu'à la taille, des bottes noires à talons hauts et des bas résille noirs. Pas vraiment gothique, mais j'avais tiré avantage de ma peau blanche en ajoutant du rouge à lèvres noir. C'était peut-être trop. Je ne pensais pas gagner, mais j'espérais que quelque chose se passerait. Nobuko n'était pas venue pour le concours, elle n'avait qu'une jupe et un chemisier, même si Rie l'avait convaincue de les prendre une taille trop courte. Il ne lui manquait qu'un chignon et des lunettes pour qu'elle ressemble à une secrétaire de porno, un des ...
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