1. Papa et sa salope de fille (2)


    Datte: 15/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: QuillX, Source: Xstory

    ... difficile. Je poussai un soupire d’extase lorsque je le sentis atteindre le fond. Je me remis à lui faire faire des vas et viens de plus en plus violents et à me percuter l’intérieur vigoureusement. C’était si bon !
    
    Tout à mon plaisir, je me fichais bien de louper mes partiels. Mon père, lui, pensant que j’étais partie, quitta la maison pour aller travailler. Pendant ce temps, je zyeutais déjà le dernier tournevis qui était bien plus gros que les deux premiers. Celui-ci serait sans doute plus difficile à insérer mais je m’en fichais. Je pris mon temps et finalement je parvins à le faire entrer en entier. Je me sentais écartelée mais tellement pleine que je jouis quasi immédiatement. En le sortant, je pris soin de le lécher jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de mon liquide intime.
    
    Sur ce, je m’endormis.
    
    Je me réveillai une heure plus tard. J’avais définitivement loupé mes partiels et je me sentais coupable de m’être laissée aller à ce point. Je m’étais comportée comme une pute et ça me dégoûtait. Sans compter que j’avais presque fantasmé sur mon propre père ! Je détachai les pinces à linge de mes tétons et filai sous la douche. Je passai le reste de la journée à faire le ménage, comme pour me laver de mes péchés.
    
    Les quelques jours qui suivirent, plus rien ne se produisit. Je redevins la jeune fille sage, pudique et réservée que j’avais toujours été. ...
    ... Il faut dire que mes hormones, après ce que j’avais fait sous leur impulsion, me laissèrent un peu tranquille.
    
    Lorsque, le week-end venu, mon père embarqua sa trousse à outils pour aller bricoler dans le garage, je sentis une pointe de culpabilité. J’avais minutieusement nettoyé chaque tournevis avant de le remettre en place mais à mes yeux ils restaient et resteraient toujours souillés. Si mon père savait ce que j’avais osé faire, sans doute aurait-il honte. J’ignorais alors qu’en matière de sexe, la honte n’avait pas sa place.
    
    Le troisième incident se produisit le week-end suivant, quand mon père apprit que je n’avais pas assisté à l’une des épreuves de mes partiels. Furieux, il faillit me mettre une gifle mais se retint juste à temps. Il parut réfléchir et me proposa une autre alternative.
    
    « C’est trop grave, Sandra, je ne peux pas laisser couler. Si je ne te donner pas une gifle, ça mérite au moins une fessée.
    
    — Une fessée, m’exclamai-je interloquée. Mais… Mais je suis trop vieille pour ça !
    
    - Dans ce cas, ce sera la gifle.
    
    - Non, attends !
    
    En y réfléchissant, les coups sur les fesses étaient certes plus humiliants et infantilisants, mais moins douloureux que ceux sur les joues…
    
    — C’est d’accord. Je prends la fessée, déclarai-je sans trop réaliser ce qui était en train de se passer.
    
    Se prendre une fessée à dix-huit ans, la honte ! 
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