1. Cousins..., cousines, tante ( 6)


    Datte: 14/04/2019, Catégories: Mature, Première fois Inceste / Tabou Auteur: wolfie91, Source: xHamster

    Je n’arrivais pas à dessouder mon regard du dos de ma tante sous la douche…
    
    L’eau lui ruisselant dessus, lui pétrissant le corps comme pour la modeler dans la fluidité. Cette femme, hum… Tout, chez elle, respirait la féminité… L’éjaculation précoce, la sodomie sans préliminaires, la fêlure, la déchirure sauvage et profonde, l’explosion des testicules a****les dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul, entre ses nichons et même à entrer dans les ordres, au cas où elle ne voudrait pas vous laisser faire de l’alpinisme sur son mont de venus, après vous avoir sucé pendant des heures.
    
    Elle se retourna vers moi et cette fois, l’eau bienfaisante se servait de sa poitrine afin de former une cascade qui se jetait sur son entrejambe assoiffé de liquide…
    
    Une voix qui ne m’était pas inconnue, me ramena sur terre :
    
    « Ben vas y…, ne te gêne pas, remplis tes yeux de belles images… ! .. Je sais bien que nous ne sommes pas mariés, mais je te rappelle cordialement, que je t’ai fait cracher plusieurs fois… .. Dont une fois au fond de ma gorge…, ça devrai compter cela…, non ? » Bêla Rebecca.
    
    J’allai rétorquer, quand je m’aperçus que tante Nath revenait vers nous… Tout en s’asseyant, elle envoya un regard discret sur mon érection mi-molle et un rictus entrouvrit ses lèvres. Elle s’agenouilla sur la serviette qu’elle avait posée près de sa fille et commenta :
    
    « Bon ben…, puisque vous êtes nus, je vois pas pourquoi je resterais textile… ! »
    
    Tournée vers moi, elle écarta les ...
    ... genoux un peu plus afin d’avoir meilleure assise, ses mains filèrent derrière son dos et le haut tomba devant elle, libérant les plus beaux seins de la création.
    
    Deux énormes poires avec des tétons en forme de canons de D.C.A près à abattre quiconque passerait à leur portée. J’avais toujours cru, que les soutifs devaient soutenir les poitrines… Dans le cas de ma tante, c’était le contraire… Sans crier gare, ses doigts glissèrent dans l’élastique de sa culotte et un long moment se passa avant que je ne lève les yeux… Son regard avait quelque chose de félin et de narquois… Plongeant dans mes yeux son magnifique regard bleuté, ses mains finirent par amener sa culotte sur ses genoux…, puis faisant un mouvement tournant, elle s’allongea et, s’aidant de ses pieds, envoya le dernier rempart de sa féminité au diable vauvert.
    
    Mes yeux se concentrèrent sur la motte velue et dorée… Les rayons du soleil couchant faisaient ressortir sa couleur de blés mûrs et ma queue se redressa comme un naja prêt à mordre. Avant de s’allonger définitivement, elle daigna m’adresser un regard, voyant mon incontrôlable réaction, elle siffla à la garçonne, avant d’éclater de rires… Sa fille lui demanda les raisons de sa conduite peu cavalière, mais tatie changea de discussion :
    
    « Tiens…, tu as changé de coiffure ? »
    
    Ma cousine se passa les doigts dans les cheveux et s’étonna :
    
    « Ben…, non…, je ne suis pas allée chez le coiffeur, voilà plus de trois mois ! »
    
    Ma tante répliqua :
    
    « Je ne ...
«123»