A la recherche du plaisir (5) - Histoires de Sexe

A la recherche du plaisir (5)

... s’avance vers moi, laissant tomber sa chemise à ses pieds. Elle vient sur moi, je sens son sexe mouillé sur mon ventre, ses seins à hauteur de ma bouche, je prends le bout durci entre mes lèvres et ouvre encore plus grand ma bouche pour prendre le maximum de cette peau... me retenir, bloquer ma respiration, desserrer ma main. Je peux reprendre. Maman descend son corps pour que mon sexe atteigne les lèvres entrouvertes et humides, mon membre est englouti et commence un va-et-vient lent et langoureux. Je me lève, soudainement, je dois trouver un endroit où me soulager et je me dirige vers la vaque de la salle de bains.

Debout me voyant dans la glace le sexe en main et par reflet le corps nu de maman, je ne contrôle plus rien et envoie deux giclées sur le miroir dans un râle...

Ce matin, maman est en retard, je ne l’ai pas vue. J’ai déjeuné seul et je prends le chemin de la fac, je retrouve Juliette une amie d’enfance, grande, peau blanche. Elle arrive en mobylette avec sa jupe volant au vent. Je la considère comme une sœur, c’est la seule fille avec laquelle j’ai une relation amicale et sans arrière-pensée, ma timidité m’a empêché d’avoir des amies féminines.

— Bonjour Pierre.

— Bonjour Juliette.

— Antoine est passé chez toi ce matin, il se demandait si tu n’étais pas malade. Nous ne t’avons pas vu hier.

Antoine est un ami d’enfance aussi. Longtemps nous avons été les plus grands copains du monde jusqu’à ce qu’une brouille nous sépare quand nous étions en 6e. ...

... Nous nous sommes retrouvés à la fin du lycée, mais nous sommes différents. Antoine est un Don Juan, contrairement à moi, il collectionne les conquêtes féminines, il se dit que toutes les filles du lycée et leurs mères sont passées dans son lit et que cela continue à la fac.

— Je ne l’ai pas vu, il croisera peut-être maman, elle n’était pas arrivée quand je suis parti.

— On peut manger ensemble au resto U ce midi.

— OK.

Aujourd’hui, j’ai changé, j’ai l’impression que mon dépucelage m’a donné beaucoup d’assurance et je vois Juliette d’une façon différente aujourd’hui. Je la vois comme une femme et plus comme une sœur. Il est trop tard, je suis avec maman maintenant et je veux lui rester fidèle.

Ce midi, nous mangeons ensemble Juliette, Antoine et moi. Juliette est jolie avec son rouge à lèvres flamboyant contrastant avec sa peau blanche, mais en cohérence avec la bretelle de son soutien-gorge rouge qui apparaît de temps en temps sous son pull léger.

— Nous ne t’avons pas vu hier et je suis passé à ton appartement ce matin. C’est ta mère qui m’a reçue et offert le café.

On échange des banalités et se promet de se voir ce Week-end et retournons en cours.

Je retrouve maman en arrivant à la maison, elle est à la cuisine en train de boire un thé en peignoir.

— Bonjour mon chéri.

— Bonjour maman.

Je l’embrasse sur la bouche, elle me caresse la joue, me rend le baiser en entrouvrant la bouche et passe sa langue à la rencontre de la mienne et la tourne ...