1. Derrière le masque ou la fabrique des fantasmes. (3)


    Datte: 14/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... crois que tout le monde trouve Madame belle... dit-il horriblement gêné en me regardant d’un air interrogateur auquel je répondis symétriquement.
    
    — Savez-vous que c’est une belle salope ?
    
    Je protestais contre cette attaque aussi inattendue qu’infamante.
    
    — Allons ma chère, n’en faites pas trop ! Tout le monde sait que vous me trompez. Pour une fois, le cocu est le premier au courant. Personne ne s’imagine que vous m’avez épousé par amour, ni moi que je vous ai choisi autrement que pour vos formes parfaites. Chacun trouve dans cette union un intérêt bien compris qui ne doit rien aux sentiments.
    
    — Cette conversation est déplacée devant un domestique.
    
    — Voyons Ayden, vous savez que Madame me trompe ?
    
    — Eh bien... certains le disent Monsieur, mais moi je n’en sais rien.
    
    Le gars était au supplice.
    
    — Vous ne l’avez pas sautée vous ?
    
    — Oh Monsieur ! répondit-il en même temps que je m’écriais en me disant outragée.
    
    Nous roulions toujours.
    
    — Vous auriez bien aimé la sauter n’est-ce pas ?
    
    — Monsieur, je vous en prie !
    
    — Elle vous fait bander ?
    
    Ce fut moi qui répondis.
    
    — Mais mon ami, vous êtes fou ?
    
    — Fou ? Vous aimez les hommes jeunes et bien faits, non ? Parlons-nous de vos différents coachs sportifs, de mon neveu, de l’expert-comptable... Et j’en passe, et j’en passe...
    
    — Vraiment cette conversation...
    
    — Taisez-vous... On perd du temps... Ayden, sortez votre bite !
    
    — Monsieur... je ne peux pas.
    
    — Vous vous plaisez à mon ...
    ... service, je vous paie bien... sortez votre bite.
    
    Le chauffeur me regarda d’un air de dire qu’il préférait sortir son engin que de risquer de déplaire à son employeur.
    
    — Je ne la vois pas très bien.
    
    Moi je la voyais. Elle était belle, grosse et molle encore, bien recouverte par son prépuce.
    
    Mon mari s’arrêta à l’entrée d’un chemin forestier. Puis se pencha en arrière entre les deux sièges.
    
    — Enlevez votre pantalon et baissez votre slip. Déboutonnez le bas de votre chemise. Je veux tout voir.
    
    Il obéit sans mot dire.
    
    — Comment le trouvez-vous ?
    
    — Lui, je ne sais pas, mais je vous trouve abject de l’humilier ainsi.
    
    — Mais il ne s’agit pas de l’humilier au contraire. Montre-lui tes grosses loches salopes et vous serez à égalité.
    
    Je ne répondis pas à l’insulte ni au tutoiement qui me montraient que nous venions de changer de paramètres.
    
    — Et bien soit, dis-je d’un air de défi.
    
    Je défis mon chemisier et enlevai mon soutien-gorge.
    
    — Alors, cette paire de nibards, elle vous plaît ?
    
    Le pauvre gars ne répondit rien.
    
    — Touchez-là. Elle adore qu’on lui pelote ses gros nichons. Elle en est très fière et à bon droit ! Ils ne m’ont pas coûté un centime. C’est du naturel.
    
    Il tendit timidement son bras. Je commençai à m’exciter.
    
    — Qu’est-ce que t’attends pour prendre sa bite ?
    
    Je pris donc le sexe dans ma main droite et le sentis gonfler. Je me mis à le masturber lentement.
    
    — Suce-le !
    
    Il me faisait trop envie pour le refuser. Et je ...