1. Trixie chap 14 - Un anniversaire sex...traordinair


    Datte: 25/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster

    ... que sexy. Un désir fou se lisait dans leurs yeux, surtout que ce n'était pas la première fois qu'ils me baisaient... Le son de la voix de Maxime sembla les tirer de leur léthargie.
    
    «Alors, vous connaissez Trixie ? J'ai ouï dire que chez vous tout était démesuré. Elle m'a fait l'éloge autant de vos légumes que de votre anatomie... A table j'ai pu apprécier vos grosses courgettes, mais je suis curieux de voir le reste... qui d'après ce que je vois, ne doit rien leur envier tant en longueur qu'en grosseur... Trixie veux-tu bien me donner un aperçu des ustensiles qui vont te servir à satisfaire mon cadeau ! C'est une très, très bonne idée que tu as eu là ! Je vais me semble-t-il me régaler ! »
    
    Je passais derrière le vieux et très doucement j'abaissais la fermeture éclair de sa salopette, comme je le pensais, il était nu dessous. Ma main, se faufila à l'intérieur, descendis lentement le long de son torse. Je sorti son sexe monumental et turgescent, il bandait énormément, je le calottais et décalottais deux ou trois fois, il trembla et cela lui tira un gémissement de plaisir.
    
    Je lui mordillais le lobe de l'oreille en lui murmurant.
    
    « Tu n' as qu'une énorme envie c'est de mettre ta bite dans ma chatte... vieux sadique !
    
    - Et toi petite Salope, tu adores que je te l'enfile entièrement... Je vais te faire hurler de plaisir devant ton jeune copain... »
    
    Je fis glisser sa salopette sur ses épaules dévoilant son torse osseux couvert de poils blancs, elle tomba à ses ...
    ... pieds. Son sexe monstrueux de plus de six centimètres de diamètre dépassait largement son nombril. Ses deux gros testicules s'étalaient sur ses cuisses.
    
    « Ooooohhhh putain le bel engin, s'exclama Maxime... ! Il ne doit rien à celui de Gérald.»
    
    Son fils dont la combinaison était déjà bien ouverte, commença à se déshabiller rapidement, Maxime put ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s'étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité.
    
    Mais c'est son pénis qui fascinait. Il était presque noir, en érection, il devait mesurer une vingtaine de centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, ça procurerait des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d'un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des œufs de poule.
    
    Je regardais Maxime, une sorte de rictus de dédain, sûrement du à la laideur des deux hommes, déformait ...
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