A la recherche du plaisir (6)
Datte: 13/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: normand14, Source: Xstory
... Viens manger chez moi ce midi, nous fêterons ton anniversaire.
— OK, je me lève à douze heures et serais chez toi à 13 h.
Je croise Pierre, ce matin, qui finit son café
— Je mange chez Sylvie ce midi.
— Moi qui pensais que nous pourrions déjeuner tous les deux je suis déçu.
— Je pense que je te donne beaucoup de compensation ces derniers temps.
— Bonne journée, dit-il en souriant et m’embrassant sur les lèvres et partant pour la fac.
Je me mets au lit, suite à la dernière nuit avant mes jours de repos, je ne dors qu’une demi-journée.
Je me prépare pour aller chez Sylvie, mets une jupe, ces derniers jours sont chauds, et une chemise. Nous aimons nous retrouver en dehors du travail. Sylvie habite un deux-pièces dans un quartier opposé au nôtre dans une petite résidence à son modèle. Immeubles de 2 étages au milieu d’espaces de verdure et de fleurs. La table est mise avec des bougies allumées et une bouteille de champagne ouverte. Je suis surprise, c’est un peu la même mise en scène que lors de notre soirée d’anniversaire avec Pierre. Nous mangeons, buvons et rions comme deux copines de collège. Je n’ai bu qu’un verre de champagne, car je veux, cette fois-ci, garder les idées claires, mais le rire est aussi enivrant que l’alcool.
Nous nous installons côte à côte sur le canapé pour prendre le café.
— Je vois que, aujourd’hui aussi, tu n’as pas mis de soutien-gorge, dit Sylvie en regardant le col de ma chemise entrouverte qui laisse deviner ma ...
... poitrine.
— j’aime, en ce moment, laisser mes seins en liberté. Tu n’es pas complexée par ta petite poitrine ?
— Pas du tout; tu ne peux pas savoir combien d’hommes aiment cela. J’en suis très contente en entendant les femmes se plaindre de la lourdeur de leurs seins, de la difficulté de trouver un soutien-gorge à leur taille, du mal de dos. Mais je dois reconnaître que ta poitrine m’attire, je peux la toucher ?
Sans attendre la réponse, elle enlève les premiers boutons de ma chemise et caresse délicatement mes seins. Ses caresses sont totalement différentes des mains d’hommes qui les ont malaxés auparavant. Ses petites mains délicates parcourent les lobes tel le pinceau d’un peintre qui parcourt une toile pour dessiner un nu. Malgré la surprise de cette audace, je la laisse faire, découvrant un nouveau plaisir. Sylvie se tourne vers moi, m’embrasse le coin de la lèvre, descend vers le cou, puis le derrière de l’oreille. A mon tour, je veux toucher cette petite poitrine si intrigante. Je glisse ma main sous son chemisier, ses seins sont pointus et très fermes. Maintenant, sa main caresse ma cuisse en remontant doucement vers mon bas-ventre et soulève ma jupe.
— Aujourd’hui, tu portes une culotte ?
Sa main passe dessus, j’ouvre mes jambes, sa main passe à plat sur mon pubis, la dentelle commence à être trempée. Sylvie se lève et, sans rien demander, déboutonne entièrement ma chemise, me l’enlève. Je suis poitrine nue. Elle tire la fermeture éclair sur le côté de ma ...