Vulnérable ! - Histoires de Sexe

Vulnérable !

... les fesses ?

Elle semble hésiter. Se lève.

— Arrête, David. S’il te plaît, arrête !

Il obéit. À contrecœur, j’espère. Je n’ai plus qu’à me relever et à faire descendre ma jupe bleue. J’aimais bien ce qu’il me faisait, mais la chipie est jalouse. Fin du premier acte, donc. D’ailleurs, les autres nous appellent. Nous les retrouvons dans la cuisine. Frédéric et Delphine ont gagné, comme prévu.

— Les vainqueurs entre eux ? propose Frédéric.

David acquiesce. Nous allons donc jouer contre Sandrine et Thomas. Thomas m’a gentiment draguée, en effet, un soir de fête, alors que j’étais avec Olivier depuis peu de temps. Cela s’est arrêté au baiser et à ses mains sur mes fesses pendant le baiser. Un peu sur mes seins, aussi, jusqu’à ce que quelqu’un vienne nous déranger. Je l’avais laissé faire, par curiosité.

— David vient de fesser Sophie, déclare Olivier. Je lui ai dit qu’il était d’usage de fesser les perdants, ou d’en disposer librement. Mais Natacha n’a pas voulu en profiter.
— Ah oui ? Moi j’aimerais bien la fesser, Natacha, proclame Frédéric.
— J’espère que vous perdrez encore, nous dit alors Thomas, je fesserai Sophie à mon tour, j’ai toujours adoré ses petites fesses dodues.
— Et les miennes, alors, feint de s’indigner Sandrine, tu es bien content de les trouver, les miennes !
— Sans aucun doute, ma chérie. Mais si nous perdons, c’est Olivier qui en disposera.
— Chic alors, j’ai toujours trouvé Olivier très sexy… Tu seras jalouse, Sophie ?
— Un peu, ...

... sans doute, mais je me ferai une raison, rassure-toi.

Elle rit, elle a de jolies dents, une bouche pulpeuse. Si elle suce Olivier… Nous jouons sérieusement pendant quelque temps, trois ou quatre contrats sont réalisés. Puis, alors que Sandrine joue pour quatre piques, elle chute de deux plis. Elle a joué en dépit du bon sens.

— Sandrine tu mériterais… gronde Thomas.
— On n’a pas encore perdu la partie, réplique-t-elle.

Frédéric, qui est à ce moment-là le mort de la partie voisine, intervient alors :

— Non, vous n’avez pas perdu la partie mais vous perdez deux vêtements. Chacun !
— C’est une nouvelle règle du jeu, ça ? demande Sandrine en riant.
— Oui, ce soir c’est devenu la règle.
— Oh moi je veux bien, je quitte mes chaussures. Et toi Thomas mon chéri ?
— Moi aussi.
— Les chaussures ne comptent que pour un seul vêtement, précise Frédéric. Et les chaussettes partent avec, naturellement. Nous serions ridicules en chaussettes.
— Bon, j’enlève donc aussi mon t-shirt, dit Thomas. Et toi, Sandrine ?
— J’hésite. Mon corsage ou ma jupe ? Qu’est-ce que tu préfères, Olivier ?
— Ton corsage. J’adore voir les filles en soutien-gorge.

Thomas a de belles épaules mais je m’en doutais. Pratiquement aucun poil sur la poitrine. Sandrine déboutonne son corsage, l’enlève et le pose sur la table. Il y a de la place entre les deux jeux. Olivier confirme à Sandrine qu’elle est ravissante en soutien-gorge parme. Il fait le joli cœur ! C’est à elle de donner les cartes. Avant, ...