1. L'appel... mystérieux.


    Datte: 11/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... inconnu ?
    
    - Là à chaud dans l’excitation où je me trouve, je dirai pourquoi pas !
    
    - Avec un pervers comme moi, par exemple ?
    
    - Non ! Tu n’es pas un pervers ?
    
    - Je pense réellement y être, oui… Je fais plein de trucs bizarres aux femmes.
    
    - Quoi donc ? Je veux savoir…
    
    - Dans la minute je ne serais te dire… oui tiens, il m’arrive de demander à ma partenaire qu’elle pisse dans ma bouche.
    
    - Non ! Tu me charries là !
    
    - Pas le moins du monde. Et d’ailleurs pourquoi le ferais-je… c’est la vérité… je t’avouerais même que je bois l’urine sans scrupule.
    
    - Mais c’est dégoûtant !
    
    - Tu l’as déjà fait ?
    
    - Non !
    
    - Alors qu’est-ce que tu en sais ? Il faut l’avoir fait pour savoir.
    
    - Mais c’est de la pisse…
    
    - C’est peut-être pour ça que j’aime cela. De le boire sitôt sortit du sexe. Il est chaud, il est bon…
    
    - Jamais je ne pourrais imposer à mon mari de faire cela.
    
    - Qui parle de faire ça avec lui…
    
    - Avec qui d’autre… avec toi ? En ce connais même pas.
    
    - Ça à l’air de t’intéresser, hein ? Avoue-le, cochonne ?
    
    - C’est par pur curiosité, sans plus…
    
    - Oui ! C’est-ce qu’on dit. La curiosité à bon dos. Et si je te dis que je ne serais pas contre, tu réponds quoi à cela ?
    
    - Que je suis très tentée…
    
    - Et qu’est-ce que tu en fais de ton mari ?
    
    - Il n’en saura rien.
    
    - ...
    ... Tu n’as pas honte ?
    
    - Pas du tout. Peut-être demain. Mais pas sur le moment je suis dans un tel état d’excitation que je suis ouvert à toute suggestion pour assouvir ma soif sexuelle.
    
    - Tu portais une culotte aujourd’hui ?
    
    - Oui, naturellement. Pourquoi ?
    
    - Parce que j’aime les culottes portées. Tu me crois là ?
    
    - Oui… pourquoi pas.
    
    - Quand j’en es une qui me satisfait, je la renifle à m’en faire péter les poumons.
    
    - Et je peux savoir pourquoi tu me confis cela ?
    
    - Comme pour te prouver mon degré de perversité.
    
    - Qu’est-ce que tu dirais si je te proposerai la mienne ?
    
    - Que je ne serais pas contre. Comment est-elle ?
    
    - Marron. En tulle. Cela te va ?
    
    - Pas qu’un peu que cela m’intéresse. J’adore ce textile. Je trouve qu’il capte bien les odeurs.
    
    - Tu peux me faire confiance, elle sent fort…
    
    - Tu m’intéresse là !
    
    - J’ai fait une ballade en vélo cette après-midi. J’avais le contrefort de mon sous-vêtement dans la crevasse. De ce fait, Il a aspiré une bonne partie de ma bonne sauce, si tu vois ce que je veux dire.
    
    - Tu veux quoi ? Que je te donne une adresse pour me l’envoyer, où alors ?
    
    - Où alors quoi ?
    
    - Que je vienne moi-même la chercher…
    
    - Je ne sais pas. Il faut que je réfléchisse. Je te rappel.
    
    - Mais tu n’as pas mon numéro ?
    
    - Ça c’est-ce tu penses ? 
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