1. L'éducation d'Hélène (1)


    Datte: 09/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: cfe, Source: Xstory

    Je m’appelle Helene, je suis une femme de 32 ans, célibataire, châtain clair, mes cheveux légèrement ondulés tombent sur mes épaules, j’ai des yeux bleus et une grande bouche avec des lèvres lippues. Je suis plutôt pulpeuse, je mesure 1M68 pour 67 kilos, je fais un 90D. Des fesses plutôt rondes, étant très sportive, je suis assez musclée, avec un ventre bien plat et des jambes fuselées.
    
    J’ai donc des formes.
    
    Je suis cadre supérieure dans une grande compagnie d’assurance au service des enquêtes sur de gros dossiers.
    
    Situation très intéressante, car très variée, la base étant de déjouer les tentatives l’escroquerie à l’assurance, cela va de l’incendie aux vols déguisés, ce qui nous amène parfois à démanteler des réseaux bien organisés et ainsi éviter d’autres vols d’envergures.
    
    Mon service est dirigé par Jean Duchemin qui porte bien la cinquantaine, très distingué, très vieille France un peu hautain. S’il sait se faire respecter au sein du service, c’est un homme assez à l’écoute, et sûrement doux et sensible, voire même timide, surtout avec les femmes. A certains regards que j’ai pu surprendre, je suis sûre que je lui plais, mais il a toujours gardé ses distances.
    
    Ma vie amoureuse est assez monotone. Les quelques amants qui ont traversé ma vie étaient bien élevés sans grande originalité, ils ne m’ont jamais fait vibrer, encore moins rêver. Peut-être est-ce cela la vie amoureuse.
    
    Je ne suis pas très sensuelle et le sexe ne m’intéresse pas beaucoup, car je ne ...
    ... ressens pas grand-chose.
    
    Ma vie a basculé un vendredi soir de juillet, au moment de quitter mon bureau vers 19H, impossible de mettre ma voiture en route. Trop fatiguée pour attendre un dépanneur, je décide de prendre le métro. Bien sûr il est bondé à cette heure, nous sommes entassés les uns contre les autres, j’ai horreur de la promiscuité des odeurs de sueur de ces corps qui sont collés les uns aux autres et surtout au mien.
    
    Je portais une robe légère assez courte et une veste, lorsque j’ai senti quelqu’un se frotter contre moi dans mon dos et surtout contre mes fesses, je ne pouvais que subir sans pouvoir me retourner pour le repousser vertement... malgré les arrêts, je n’ai pas pu me dégager et il a recommencé ... quand j’ai commencé à sentir une chaleur dans mon ventre, je sentais contre mes reins une raideur à ne pas douter un sexe... mes seins aussi étaient durs à me faire mal, mon souffle s’accélérait... j’avais chaud, très chaud, je me suis même surprise à me cambrer, à chercher cette raideur anonyme.
    
    J’étais excitée comme jamais, folle de désir, je coulais. Je l’ai senti se raidir, trembler, il jouissait, quelle horreur, quelle excitation, je devenais folle, je n’en pouvais plus, il me fallait un sexe ! Disons plutôt une bite ! Un mâle !
    
    Un nouvel arrêt, je réussis à me retourner, c’était un grand noir filiforme avec son uniforme vert et ses bandes jaunes... dans un souffle, je lui dis « suis-moi »... je ne savais plus ce que je faisais, en fait, mon ...
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