1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1068)


    Datte: 09/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Maître, me dit-elle, je soigne les petits bobos et les marques. Bien ! Montre-moi tes seins de plus près, Madame Marie m’a dit de te les gonfler et de t’allonger les tétines, ils sont pourtant mignons tes seins... Allez, allonge-toi ici sur la table. Ne crains pas, cela ne te fera pas mal, juste un peu douloureux au début, mais après tu auras une poitrine plus rebondie et des tétons plus... longs.
    
    Je m’installais donc sur la table d’examens.
    
    - Je suis prête lui dis-je. Tu les trouves petits, toi, mes seins ?, demandais-je à soumise Emeline.
    
    - (en riant) mais non ! Je les trouve mignons, même mais tu dois savoir que Madame Marie a des goûts et des exigences précises... En plus s’ils sont plus volumineux, c’est mieux pour les cravacher, dit-elle souvent !
    
    soumise Emeline travaillait vite et bien. Elle injectait un produit avec sa seringue qu’elle plantait un peu partout dans chaque sein et effectivement au bout d’une heure pour le premier, le sein avait doublé de volume, plus gros, plus galbé également. Ensuite, elle plaça un extenseur de téton qui lorsqu’elle en relâchât le ressort, étira fortement le téton l’allongeant de ce fait. Ainsi « transformée » après plus de trois heures d’étirement, soumise Emeline me renvoya retrouver Marie la cuisinière. Celle-ci, toujours occupée en salle informatique, ne porta aucun intérêt à ma présence. Vêtue entièrement de cuir, jupe stricte, corset et petite veste, son aspect sévère, ses lunettes dont la monture noire ...
    ... assombrissait encore plus son regard, elle me donnait plus à penser à une Kapo de l’armée soviétique qu’à une femme. Alors que je restais derrière elle à attendre son bon vouloir, immobile et qu’elle était penchée en avant sur ses branchements informatiques :
    
    - As-tu fini de reluquer mon cul, salope ?
    
    Je ne reluquais rien mais étais derrière elle, silencieuse, attendant.
    
    - Montre-moi le travail de soumise Emeline ! (J’obtempère, levant les bras écartés offrant ma poitrine à sa vue)
    
    - Mouais, c’est pas mal, mais on fera mieux la prochaine fois, c’est un début, salope. Place-toi de biais, ici ! (Ses paroles étaient des ordres stricts !) - Monsieur le Marquis m’a donné ordre de m’occuper de toi pendant deux jours et crois-moi ma belle, je vais le faire, j’ai l’habitude de dresser des petites chiennes comme toi. Pour commencer, mets-toi à quatre pattes, et rapporte-moi la cravache que tu vois là-bas sur la table !
    
    - Oui Marie, dis-je
    
    Une superbe paire de gifles me coupa le souffle.
    
    - Pas Marie, grosse salope, tu dois me dire Madame Marie ou Madame, la chienne !
    
    - Ou… Oui Madame Marie.
    
    - Remercie-moi de te dresser, salope !
    
    - Je vous remercie de me dresser, Madame.
    
    - Tu vois, quand tu veux...
    
    Je me mis à quatre pattes et alla prendre la cravache exigée. Alors que je tendais la main pour la prendre :
    
    - Pas avec tes pattes, sale chienne, avec ta gueule !
    
    - Oui Madame, veuillez me pardonner…
    
    Je prenais entre mes lèvres la cravache et la ramenais à ...