1. Lucille


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, vacances, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral fsodo, uro, Auteur: Tomtomtom, Source: Revebebe

    ... dernière goutte.
    
    — Venez, on va boire beaucoup. Comme cela on pourra recommencer un peu plus tard. J’adore ces douches d’urine, j’adore que l’on me pisse dessus. Ce soir, on pourra faire ça aussi dans la baignoire, j’aimerais être inondée de votre liquide et en avoir sur tout le corps…
    
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    Nous avons trouvé une petite plage isolée et quasi-déserte et nous avons passé l’après-midi sous les palmiers à discuter tranquillement allongés sur nos serviettes.
    
    J’appris, entre autre, que Lucille vivait seule dans une petite fermette isolée dans le Lot, qu’elle était assez sauvage, plutôt casanière et très attachée à sa région. Elle ne se déplaçait pratiquement pas hors des limites du département.
    
    — Cela ne m’empêche pas d’avoir un certain nombre d’amants, pour la plupart des hommes mariés, des hommes du terroir. Vous savez, même dans ce trou perdu, il y a quand même de beaux mâles ! Et sous leurs airs de pères de famille honorables, certains d’entre eux sont vraiment très cochons.
    
    Pour Lucille, la seule exception à cette vie paysanne, c’était le petit voyage qu’elle s’octroyait chaque année, le plus souvent à l’étranger. Elle mettait à profit ces courtes périodes de repos pour « partir à la chasse aux mâles », selon ses propres termes. Et ça marchait généralement bien. Angoissante question : les revoyait-elle, tous ces amours de vacances ? Rarement, en fait, car la plupart habitaient d’autres régions et ne faisaient pas le déplacement pour venir la voir… Ils ...
    ... l’oubliaient dès leur retour en France.
    
    — Moi, je viendrai vous voir, je vous le promets.
    — Vous dites tous ça ! Mais quand vous aurez pris conscience que j’habite dans le trou du cul du monde, vous vous direz que le jeu n’en vaut peut-être pas la chandelle.
    — Certainement pas. Je tiens absolument à vous revoir, Lucille.
    — Même si moi je n’en ai pas envie ?
    — Non, dans ce cas, je vous laisserai tranquille.
    
    Ainsi c’était donc cela, les vacances terminées, elle n’avait plus trop envie de continuer l’expérience… J’en fus tout d’un coup fort dépité.
    
    Combien avait-elle eu d’hommes ? Aucun avant son mariage, très peu pendant son mariage, et beaucoup depuis son veuvage, c’est à dire depuis six ou sept ans. À l’heure où la ménopause calme nombre de femmes, elle s’était découvert un tempérament de feu et avait bien l’intention d’en profiter jusqu’à sa mort, en essayant de rattraper toutes les années perdues dans un mariage trop routinier.
    
    — Notez bien que je dois à mon mari ce plaisir de vivre toujours au naturel. Il m’a toujours dissuadée de m’épiler et la plupart du temps, nous vivions tout nus à la maison. Pour le reste, il était écolo-chiant et, en ce qui concerne l’amour, son imagination était fort limitée. À l’époque cela me convenait, je n’avais rien connu d’autre ! Et puis, il y avait le travail, les enfants, vous savez ce que c’est… à votre âge peut-être pas trop, mais si j’ai un conseil à vous donner, c’est de faire tout votre possible pour éviter cette voie ...
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