Lucille - Histoires de Sexe

Lucille

... très jolie bite, bien proportionnée et poilue juste ce qu’il faut.

Elle passe sa langue dessus, je me mets de suite à bander.

— Et une très belle paire de couilles, ajoute-t-elle en les suçant.

Elle gobe un long moment mes bourses avant de revenir à ma hampe. Je la regarde faire, sans en perdre une miette. Sa langue roule autour de mon gland. Nos regards se croisent :

— Humm ! J’aime cette odeur de bouc. Promettez-moi d’arrêter de vous laver, pour que vos senteurs soient bien fortes.
— Je vous le promets.
— J’aime ces effluves de sperme séché. Ah, putain ce que ça m’excite ces odeurs de bite ! clame-t-elle avec vigueur.

Cette fois-ci, elle m’embouche à fond. Elle pompe mon dard avec ferveur en agrippant mes fesses. C’est vraiment une suceuse hors pair qui accorde parfaitement l’intensité de son léchage à celle de mes sensations.

Une camionnette passe près de nous. Je vois le conducteur qui se tourne vers nous, qui aimerait bien en savoir plus. Certes nous sommes protégés par notre voiture mais, sur la route, on doit bien s’apercevoir que quelque chose n’est pas normal. « Que fait cet homme debout près de sa portière ? ». D’autant plus qu’il a peut-être aussi remarqué la femme agenouillée sur l’accotement.

Pendant que je me pose plein de questions, Lucille redouble d’intensité sur ma queue, elle fait monter la sève. À ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps.

— Ce serait bête de gaspiller tout ça de si bon matin, gardons-en pour plus tard, ...

... décide-t-elle subitement.

Délaissant mon sexe, elle me demande de me retourner et entreprend de me lécher l’anus.

— J’aime aussi cette odeur de cul.

Elle écarte un peu plus mes fesses, je sens sa langue dans mon petit trou, sa langue puis bientôt un doigt mouillé. Elle me branle le cul, lèche ses doigts et me branle à nouveau avant d’y remettre la langue. C’est une grosse cochonne vicieuse, visiblement habituée à lécher le derrière de ses amants.

Une autre voiture passe. Cette fois-ci un couple de vacanciers. Madame, intriguée, se tourne, elle n’est perd pas une miette. Je ne pense pas que, d’où elle est, elle puisse votre mon sexe mais, en tout cas, notre présence l’intrigue. Peut-être devine-t-elle plus qu’elle ne voit vraiment, en tout cas elle regarde. J’imagine ensuite la conversation avec son mari : « Tu sais, le véhicule arrêté au bord de la route… Il y avait un gars qui se faisait sucer par sa femme. Chéri, si tu t’arrêtais pour qu’on en fasse autant… ».

De nouveau côté face, de nouveau embouché par ma goulue pompeuse. Je suis toujours tendu à l’extrême, c’est si bon d’être dans sa bouche. Heureusement qu’elle s’arrête juste au bon moment. Quelques secondes plus tard et c’était le point de non-retour…

— Inutile de remettre votre short ! Restez donc comme ça dans la voiture que je puisse profiter du spectacle.

Elle est debout près de moi, sa liquette à moitié entrouverte.

— J’aime beaucoup voir ballotter vos seins nus sous votre chemise.
— Depuis ce ...