Lucille
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
vacances,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
fsodo,
uro,
Auteur: Tomtomtom, Source: Revebebe
... ces senteurs très âcres. Son petit trou brun frotte sur mon nez. C’est une invitation à le lécher. Au point où j’en suis, je suis prêt à tout pour la satisfaire. Je lèche consciencieusement sa raie avant de m’attaquer à son anus. Ma langue dardée glisse au plus profond en elle.
— Humm, ce que vous faites ça bien… enfoncez bien votre langue tout au fond de mon cul, j’adore me faire sucer l’anus.
Il n’en faut pas plus pour que je le pénètre plus loin encore. Je me déchaîne avec ma langue entre ses fesses. Elle me laisse faire un long moment avant de me représenter le côté face. Cette fois-ci, elle écarte ses chairs avec ses doigts, ce qui a pour effet d’ouvrir largement sa chatte et de dévoiler un beau fruit bien rouge et bien juteux. Je ne me fais pas prier pour le manger, je le dévore à pleine bouche sans oublier le petit bouton que je retrouve érigé sous le passage de ma langue mutine.
Elle écarte maintenant légèrement les cuisses pour mieux que je la pénètre. Ma langue glisse dans son trou, elle aspire la mouille qui s’en échappe avant de pénétrer encore plus loin dans cet antre bien humide.
Cela dure ainsi un long moment, elle semble très demandeuse et, de mon côté, je ne me lasse pas de la dévorer. Je suis prêt à la manger ainsi toute la nuit si elle le souhaite.
Je pense qu’elle ne recherche pas vraiment la jouissance car, à chaque fois que ma langue s’attarde un peu trop sur son clito, elle s’arrange pour la faire aller ailleurs…
— Pas mal pour un ...
... début, finit-elle par conclure en se retirant.
Elle se recule, elle prend un peu de distance et contemple quelques instants mon sexe tendu à l’extrême.
— Vilain satyre, me dit-elle en rigolant, vous ne pensez tout de même pas que je vais vous offrir ma grotte, comme ça, dès le premier soir ! Pour y avoir accès, il vous faudra vraiment la mériter.
Elle se penche de l’autre côté du lit, ramasse quelque chose et me jette un bout de tissu au visage.
— Celle-ci est vraiment très sale. Elle pourra peut-être vous inspirer pour votre masturbation.
Elle s’allonge jambes écartées sur le lit et entreprend de se doigter.
— Allez-y, faites de même : branlez-vous !
Je porte la petite culotte souillée à mes narines. Elle sent l’odeur très caractéristique de ma maîtresse, sauf qu’à ce stade ce n’est plus de la négligence, c’est de l’incontinence. Les exhalaisons m’entêtent, on dirait que je suis drogué.
Nous nous masturbons chacun de notre côté. J’astique ma queue en la regardant se doigter et elle se doigte en me regardant m’astiquer. Elle n’y va pas par quatre chemins, elle mouille ses doigts et les enfonce très loin dans sa grotte en transperçant son épais buisson. L’odeur particulièrement forte de sa culotte me met dans tous mes états et je me branle comme un malade avant de juter sur le lit à gros bouillons. En ce qui la concerne, je la vois qui s’active aussi de plus en plus vite. Le flic-flac de son jus remplit désormais la pièce de bruits incongrus. J’ai ...