1. Le collier


    Datte: 09/04/2019, Catégories: f, ff, ffh, fbi, inconnu, fépilée, sales, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral jeu, sm, attache, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... celle de sa vétérinaire. J’ai hâte de la sentir sur moi.
    
    La scène et le trouble de Marie commencent sérieusement à m’exciter. Sa peau fine, ses courbes harmonieuses me font envie. Je me glisse derrière elle, prends ses seins dans mes paumes et les malaxe sans ménagement, faisant rouler les pointes entre mes doigts. Elle se détend et se laisser aller contre moi. Son parfum discret lui va à merveille et se mélange délicatement avec ses odeurs intimes. Je câline ses flancs, glisse mes mains sur ses fesses.
    
    En regardant sa croupe, je constate que ses reins sont ornés d’un large tatouage tribal, qui met en valeur la pâleur de sa peau. Je prends le temps d’en dessiner les contours d’un doigt. Puis je cède à l’envie qui me tiraille le ventre depuis trop longtemps. Je soulève le peu de tissu qui me sépare de son intimité, glisse mes doigts entre ses fesses, puis plonge contre sa chatte.
    
    Elle a dû m’attendre avec autant d’impatience que moi, à sentir à quel point elle est déjà moite de désir. Mais je ne suis pas seulement venue pour échanger quelques caresses avec elle. Son invitation comprenait un programme plus complet, et ce n’est pas le moment de me laisser aller.
    
    Tout en gardant mes doigts enfoncés en elle, je prends son collier dans mon autre main et la tire de côté. Déséquilibrée, elle ne peut pas résister et bascule. J’en profite pour la forcer à s’allonger par terre, sur le dos. À la vision de ses jambes écartées, mon ventre se crispe de désir. Je dois vraiment ...
    ... être en manque depuis beaucoup trop longtemps pour démarrer ainsi au quart de tour. Il faut dire qu’il émane quelque chose de magique de Marie. C’est la première fois que je suis pareillement attirée par une femme, et l’abstinence forcée n’est sûrement pas la seule explication. Elle me donne une envie folle de sentir sa langue, sa bouche, ses doigts contre ma chatte. J’ai un violent besoin qu’elle me fasse jouir, maintenant, sans préliminaires.
    
    Fiévreusement, j’enlève mon jeans et la petite culotte de dentelle que j’avais mise pour l’occasion. Après avoir enjambé Marie, en lui dévoilant mon entrejambe, je m’agenouille contre elle et avance mon sexe près de son visage. Elle me regarde attentivement, les yeux brillants de désir, puis pose ses mains contre ma croupe. Je sens que si je la laisse faire, elle va prendre possession de mon corps à sa guise. Je serre mes cuisses de toutes mes forces et la secoue d’un grand coup de hanches, comme j’ai appris à le faire avec un cheval rétif devant l’obstacle.
    
    — Si tu crois pouvoir jouer les effrontées avec tes regards de chatte en chaleurs, dis-je méchamment en agrippant son collier sans ménagement, tu te trompes d’adresse. C’est la deuxième fois que tu te montres indocile, j’en ai plus qu’assez !
    — Pardonnez-moi, Maîtresse, mais vous êtes si belle, votre peau est si chaude. Je voulais seulement vous offrir ce que tout votre corps demande…
    — Et en plus, tu t’imagines capable de décider de mon plaisir ! Et bien soit, tu l’auras ...
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