Le manoir du péché (6)
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... étonner que cela. Je la soupçonnais être comment dire : ouverte, oui ouverte. Prête en quête d’une relation sans suite. Sachant que cette nuit pourrait être le bon moment pour elle. Un caprice que seul peu s’autoriser cette catégorie sociale…
J’en avais le souffle coupé. Comme pour donner plus de poids à ses paroles elle alla jusqu’à ouvrir la porte de sa chambre.
- Je pose votre valise sur la chaise, madame ?
- Oui ! S’il vous plaît, Alain. Ah ! Vous avez monté le sac.
- Oui madame, pourquoi il ne fallait pas ?
- Non, Alain. J’ai oublié de vous dire de le déposer dans la buanderie. C’est mon linge sale.
- Ce n’est pas grave madame. Je vais le déposer en descendant.
- Heu… oui… oui, merci Alain.
- Si madame à besoin de quelque chose, madame à le numéro de mon téléphone.
- Oui… bien sûr… parce que…
- Parce que quoi, madame ?
- Rien Alain… rien… bonsoir Alain…
- Bonsoir Annabelle…
Arrivé chez moi j’avais la verge en feu. Mais aussi le regret de n’avoir pas accepté l’invite qui mettait donner. Il n’est pas trop tard ! M’entendais-je dire à haute voix. Je peux toujours y retourner…
Je pense qu’à cet instant, mon honnêteté a raisonné mon excitation. Au point de me faire aller jusqu’à ma chambre. De me saisir de mon masturbateur, et d’aller l’instant d’après au salon pour m’étendre sur divan devant la télé. Je fis descendre mon pantalon, et mon slip à mi-cuisses. Après avoir enduit ma queue bandée de lubrifiant je l’ai fourré dans l’engin ...
... que je mis en fonction. Il s’est tout de suite mis en branle. La sensation fut si délicieuse que j’en eu la chair de poule. Il ne m’a pas fallu longtemps pour dégorgé mon plaisir au fond de l‘appareil.
Le lendemain, que fus ma surprise en arrivant dans le manoir de trouver Annabelle dans la buanderie, en train de fourrer les draps dans le tambour de la machine à laver. J’ai tout de suite remarqué que le chemisier qu’elle portait, était marqué de sueur sous les aisselles. Elle n’avait pas de trace de maquillage sur le visage. Ses cheveux mi-longs, blonds-roux, était rejeté en arrière. Une coiffure sans grande recherche. Je me disais qu’en vacance cette femme n’avait pas grand-chose à faire du jugement d’autrui.
- J’ai trouvé que ces draps ne sentaient pas très bon. Se justifia-t-elle, en pesant fort sur le hublot pour le verrouiller.
- Vous avez besoin de mes services ce matin Annabelle ? Lui fis-je, alors qu’elle mit en fonction la machine.
- Peut-être ! Lança-t-elle en parcourant la courte distance qui la séparer du sèche linge. Une question à vous posez, à vrai dire.
Elle en a sorti le contenu qu’elle s’est empressée de déposer sur le plan de travail, tout proche. Elle a jeté un regard dans ma direction, comme pour savoir si j’étais toujours dans la pièce.
- Il serait possible de me mettre un éclairage au-dessus de cette foutu table de travail. Fit-elle en pliant avec ses doigts pulpeux, une après l’autre les nombreuses petites culottes qui étaient étalées ...