Mamie Louise 06
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Première fois
Auteur: Fulvia41, Source: xHamster
... lançait dans ses explications scolaires, Louise sentit au creux de sa main, une nette diminution de la rigidité du jeune membre viril : inconsciemment, l’adolescent refoulait son excitation. Louise sut alors qu’elle allait pouvoir assumer son désir, tout en restant maîtresse de la situation :
— Eh bien, ça va mieux, tu es moins dur, annonça-t-elle tendrement... Tu vois que tu peux gérer ton désir…
Tout à ses explications sur ses études, Jérémy demeura surpris par la remarque de sa grand-mère qui le ramenait à la réalité. Sa première sensation fut la douceur qui entourait son membre viril :
— Bien, maintenant je peux te laisser, ironisa Louise, dont les sens en ébullitions démentaient ses paroles… Tu es calmé…
— Oh non-Mamie !, s’empressa de protester Jérémy, affolé… Continue !...
— Ah bon !... Tu aimes que je te branle, insista Louise, en massant doucement le gland turgide ?
— Oh oui, se hâta de répondre Jérémy les yeux plongés dans le décolleté du peignoir largement écarté du fait de la position de sa grand-mère.
Louise, dont le désir n’avait cessé de croitre durant ce dialogue, fixa avec concupiscence le bourgeon de chair rose qui émergeait d’entre ses doigts. Prise d’une envie soudaine, elle lâcha la verge qu’elle maintenait prisonnière dans sa main. Libérée, celle-ci retomba mollement sur le bas-ventre d’où elle s’érigeait, tentant désespérément de se redresser. Figée, Louise fixa avec fascination cette jeune queue d’une longueur peu commune. Même si ...
... cette longueur étonnante ne la surprenait plus, elle ne pouvait s’empêcher de poser la question : comment un gamin de quinze ans pouvait avoir un sexe de cette taille ?
N’y tenant plus, Louise se pencha enfin sur le bas ventre de son petit-fils attentif. S’interdisant l’emploi de ses mains, c’est seulement à l’aide de ses lèvres qu’elle attira le gland décalotté dans sa bouche. Certaine que Jérémy apprécierait cette caresse que tout adolescent espère de connaître un jour, elle aspira longuement le gland gonflé entre ses lèvres. Du fait de la longueur extraordinaire du membre, elle ne réussit, malgré le désir qu’elle en avait, d’en avaler qu’une partie. Jérémy était véritablement monté comme un âne songea-t-elle. Ses lèvres atteignirent les trois quarts de la jeune virilité dressée lorsque le gland gonflé vint lui heurter la glotte, l’obligeant à stopper l’avance de sa bouche.
Sentant ce fourreau chaud et humide lui enserrer la verge, Jérémy se cambra de plaisir. Alors qu’il s’attendait à ce que sa grand-mère continue à le branler, comme elle savait si bien le faire, il demeura stupéfait ! << Putain, sa grand-mère lui « taillait une pipe » >> ! Expression qu’il employait si souvent avec ses copains pour parler de cette caresse si spéciale qui faisait fantasmer chacun d’eux. Lorsque les lèvres chaudes et humides entamèrent leur va-et-vient le long de son membre raidi, Jérémy éprouva un plaisir particulier : il se faisait sucer la queue !... Qu’importe que cette bouche qui ...