1. PHILIPPE EP 08 : LUIDJI


    Datte: 08/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... scolaire, finalement ça ne fait pas mal aux yeux, il n'est pas seulement bien foutu, il est super bien monté. Par contre c'est frustrant parce que … On n'a pas le droit de toucher !
    
    Il exagère un peu quand même, pour l’entraînement le matin il ne met pas de sous vêtement. Avec la taille de sa bite, la légèreté du vêtement de sport, on devine qu'il y a du matériel. Moi je n'ose pas, je ne suis pas sûr de pouvoir contrôler mes érections. Je ne vous dis pas la honte si … Enfin bref, je me rinçais l’œil dès le premier entraînement du matin, on continue ensuite sous la douche. Quand on arrive au réfectoire, tout propre et bien habillé j'ai déjà la tête en feu et en plus il faudrait que je me concentre pendant les cours !
    
    Là non je ne peux plus moi, là je sature. Le dernier trimestre passait comme ça.
    
    Je rêvais de Luidji tout le temps. Je l'imaginais se lever une nuit, me regarder, moi je dormais du sommeil du juste, j'avais rien fait. En tout cas j'avais rien fait pour l'exciter comme lui le faisait tout les matins. Il bandait, sa grosse queue se relevait contre son ventre. Ses yeux encore noyés dans les brumes du sommeil, les cheveux en pagaille. Il se grattait les cheveux, il se caressait la queue. Il regardait dans ma direction et se caressait encore la queue qui gonflait encore un peu plus, elle devenait dure comme du bois.
    
    Moi je ne me rendais compte de rien. Je dormais je ronflait peut être même, enfin je dis ça mais je ne ronfle pas moi. C'est très mal élevé de ...
    ... ronfler à mon âge !
    
    Il me regardait, il passait sa langue sur ses lèvres, s'approchait de moi, il était à genoux à côté de mon lit. Il n'osait pas aller plus loin, ou alors il prenait son temps. Tout doucement il soulevait le léger draps qui me recouvrait, dans mon rêve je n'avait pas de couverture. Avec d'extrêmes précautions pour ne pas me réveiller, il glissait une main sous mon drap et déjà ressentais la chaleur de mon corps. Il retournait la main et c'est avec le dessus de ses doigts qu'il me frôlait la peau. C'était sur ma hanche, je ne réagissais pas tout de suite, juste au dessus de mon bassin.
    
    Rapidement il posait la paume de sa main sur le bas de mon ventre, et glissait ses doigts vers le haut de ma cuisse. A l'intérieur de la cuisse. Avant cet instant je n'aurais jamais pu imaginé combien il était doux mon colocataire avec ses allures de macho. Il ne me réveillait pas mais je réagissais, je me détendais, d'un mouvement qui allait de la tête jusqu'au bout de mes pieds, j'enfonçais ma tête dans mon oreiller, soulevais une épaule puis l'autre, soulevais légèrement mon dos, mes fesses, étirait bien les jambes et me retrouvais encore plus détendu sur le dos. Un grand soupir suivait puis un léger ronronnement ? Je ne ronfle pas je vous dis ! Je bandais !
    
    Je bandais oui, je bandais ferme. Il avait senti ma queue grossir puis se relever avant de devenir toute dure, relevée plaquée contre mon ventre.
    
    Il glissait alors sa main sur mon ventre entre ma queue et mon ...
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