1. Une exe prénommée Cécile


    Datte: 08/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Masturbation Hardcore, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... proposition.
    
    Nous avons convenu de finir de faire nos courses, puis de se retrouver sur le parking. Pour cela, nous avons dû échanger nos numéros de téléphone. J’avais conservé le mien, depuis le temps, contrairement à elle.
    
    A la sortie de la grande surface, je lui ai envoyé un texto pour lui dire où j’étais garé. Puis j’attendis. Elle me répondit quatre minutes plus tard pour me dire où elle était et qu’elle voiture elle avait.
    
    Il n’y avait pas de café dans ce quartier, alors je suis passé devant et elle m’a suivi, de rue en rue, jusqu’à ce qu’on arrive à proximité de la gare. Là, nous nous sommes garés et on s’est retrouvés à proximité d’une brasserie où une serveuse nous informa que toutes les tables étaient réservées pour les repas de midi. Idem dans une autre brasserie, cinquante mètres plus loin.
    
    Et c’est ici que j’ai dit à Cécile :
    
    « C’est un peu con de toute façon, puisque j’habite à une minute d’ici. Autant qu’on aille boire un verre chez moi. »
    
    Et là, elle eut un nouveau temps d’hésitation. Elle a quitté mon regard pour s’en remettre au décor autour de nous. Soyons clair : contrairement à moi, elle était mariée. Et j’imagine qu’au cours de ces instants, elle s’est demandée s’il était bien raisonnable d’aller boire un verre chez un ex qu’elle n’avait plus vu depuis douze ans, pendant que son compagnon était au boulot. Elle me l’avait dit dans ce rayon de grande surface : son mari était cadre dans une grosse entreprise d’informatique et il ne ...
    ... rentrait pas déjeuner entre midi et deux heures. Sans doute aurais-je eu le même temps d’hésitation si j’avais été à sa place.
    
    Quelques secondes, puis elle m’a regardé en disant :
    
    « D’accord, mais vite fait. »
    
    Vite fait, ça me convenait. On a repris le trottoir et on a suivi deux rues. J’ai tapé le code de l’interphone et elle m’a précédé dans l’escalier qui menait au premier étage. Seize marches à gravir, durant lesquelles j’ai maté son cul en me remémorant des scènes du passé. J’avais léché ce cul. J’avais sodomisé Cécile. Elle portait un collant noir sous sa jupe.
    
    Elle m’a de même précédé dans mon appartement, puis dans le couloir qui menait au salon où je l’ai invitée à se mettre à l’aise.
    
    « Qu’est-ce que tu bois ? »
    
    « Je ne sais pas, dit-elle. Qu’est-ce que tu as ? »
    
    « Des bières, du Martini blanc, du vin rouge, du vin blanc. Je peux faire un kir framboise ou cassis. »
    
    Elle répondit dans une petite moue :
    
    « Kir cassis. »
    
    A mon retour de la cuisine avec un verre dans chaque main, j’ai trouvé Cécile en train de parcourir le dos des livres de ma bibliothèque. J’ai posé les verres sur la table basse en disant :
    
    « En cherchant bien, tu vas trouver des livres qui t’appartiennent. J’en ai embarqué au moins deux quand on s’est quittés, sans faire exprès. »
    
    Elle m’a retourné un sourire, puis elle venue vers la table basse.
    
    « Assieds-toi où tu veux, dis-je. »
    
    Elle s’installa dans le canapé où je la vis serrer ses genoux et tirer sur sa jupe. Pour ...
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