Nuit torride avec ma collègue de travail (1) - Histoires de Sexe

Nuit torride avec ma collègue de travail (1)

... ce que je pense et je suis sûr que tu sais que je trouve désirable

Je dis ça en la fixant du regard et même si je sens que l’ambiance est favorable à ce type d’échange je ne suis pas sûr de sa réaction.

Tout en continuant à me regarder elle pose sa main sur la mienne et me dit :

— Je sais que je te plais et ce soir je compte bien te montrer que tu me plais aussi !

Elle a dit cela avec une belle assurance et dans la voix des promesses de moments coquins comme je les aime.

Je prends sa main dans la mienne et alors que le dessert ne nous a pas encore été servi je me lève et l’entraîne à ma suite. Elle ne se fait pas prier et voilà que nous marchons d’un pas rapide vers l’escalier qui doit nous conduire au 7ème ciel (enfin je l’espère bien, mais surtout pour l’instant dans une de nos chambres au premier étage). Mais le désir est déjà trop grand et arrivé au milieu des marches je m’arrête pour la fixer et nous nous jetons littéralement l’un sur l’autre. Nos lèvres se plaquent violemment et très vite nos langues se cherchent, se trouvent, s’emmêlent, se démêlent pour mieux venir encore et encore s’entrelacer avec une ardeur sans limite. Nos mains commencent à découvrir le corps de l’autre mais cela est confus tant il y a à découvrir, tout est désordonné, ses fesses, son dos, ses cuisses alternent sous mes doigts devenus avides de tout son corps. Soudainement je la vois s’arracher à moi et c’est elle qui me tire par la main pour m’entraîner dans sa chambre. Je la ...

... suis en marchant bizarrement tant mon érection est forte.

A peine la porte ouverte et refermée aussi vite l’on se jette sur le lit en s’arrachant en même temps nos vêtements. Nous nous retrouvons ainsi en sous-vêtements sur son lit et déjà nos langues s’emmêlent à nouveau et nos mains deviennent un peu plus précises pour enfin pouvoir parcourir cette peau nue offerte et ardemment désirée.

Après un énième baiser fougueux je me détache de ses lèvres pour aller explorer le corps de Tatiana. Son cou et très vite ses seins que je libère avec envie et désir de la dentelle qui les retenait. Ses tétons durcis entre mes dents je peux enfin caresser librement ses seins, ils sont si doux, blancs presque laiteux et mes deux mains suffisent à peine à en contenir un. Ils s’affaissent légèrement sur son torse les rendant encore plus hypnotisant et je ne peux m’empêcher de mettre ma tête entre ses deux magnifiques globes. Tatiana me caresse les cheveux et appuie sensiblement sur ma tête pour me diriger plus bas, ce que je fais lentement pour, par une série de baisers, dépasser le mont de Venus et me retrouver enivré des effluves dont son sexe à inondé le petit string noir que je m’empresse d’enlever. Alors que je contemple son sexe lisse aux lèvres gonflées de désir elle me saisit les cheveux pour me plaquer contre son sexe. Ma langue ne peut pas résister de lécher avec avidité son jus si chaud et parfumé.

J’alterne ainsi entre les petites lèvres et son clitoris qui est devenue aussi ...