Stéphanie, chirurgienne et salope (13)
Datte: 25/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: xconteur7935, Source: Xstory
... mes cheveux et les tord avant d’attirer ma bouche vers la sienne. Totalement inhibée, j’ouvre mes lèvres et je laisse sa langue prendre possession de ma bouche. Nos langues se trouvent et se mélangent dans un profond baiser. J’aime tellement ce contact, que j’en oublie la présence virtuelle de mon mari et je m’abandonne totalement à mes deux nouveaux amants.
— Oui, ouiii, c’est trop bon !! Défoncez-moi comme une pute !!
— Continue à l’embrasser, ça évitera que tout l’hôpital t’entende gueuler, salope !! me crie Julien en repoussant ma tête vers celle de mon patient.
Les deux queues s’activent en moi, et très vite, je sens une chaleur m’envahir le ventre. Je pars dans un profond orgasme et mes gémissements de plaisir sont étouffés par le baiser pervers que je donne à mon patient. Mes deux amants se vident en moi et je ressens les décharges de sperme dans mes orifices. Je retombe, vidée de jouissance, sur la poitrine de mon patient et il se passe de nombreuses minutes avant que je reprenne mes esprits. Julien me donne une claque sur les fesses après s’être retiré de mon cul et me dit :
— Maintenant, ma petite pute, nous sommes quittes et tu peux rentrer chez toi.
Incapable de répondre, je me libère de l’étreinte de mes partenaires et, dans une torpeur habituelle après une telle jouissance, je me change pour rentrer chez moi sans même faire attention à mes deux amants du moment. Les deux hommes m’embrassent sur la bouche avant de quitter mon bureau et, dans un ...
... état second, je quitte l’hôpital après avoir récupéré mon portable. Anthony avait coupé la Visio depuis un petit moment, mais ce détail ne me perturbe pas. Je sors de l’hôpital et je rejoins le métro pour rentrer chez moi. Comme d’habitude, à cette heure de pointe, le métro est bondé. Je me retrouve très vite entourée d’hommes qui ne se gênent pas pour se frotter à moi. Ils sont trois autour de moi et, très rapidement, je sens entre mes fesses une forme qui ne me laisse aucun doute. Une nouvelle station; et le métro se remplit encore. Les corps se serrent contre moi et je sens une main se glisser entre mes cuisses.
L’homme qui se trouve à ma droite libère son bras et vient poser sa main sur mes seins. Le soupir que je lance dans le brouhaha ambiant ne fait qu’encourager les trois hommes qui se sentent impunis dans ce vase clos que représente le métro. Je ne cherche pas à savoir si des regards se posent sur nous et je m’abandonne à ces mains qui veulent me faire du bien. Je ferme les yeux au moment où je sens des doigts soulever le tissu de ma robe légère, et se poser sur mes lèvres intimes, gonflées par le désir que me procure ce nouveau contact. Il faut dire que je suis toujours dans l’excitation de ce qui vient de se passer dans mon bureau et je m’abandonne volontiers à ces caresses furtives. J’ouvre de nouveau les yeux, car j’ai envie de voir le visage des hommes qui me tripotent sans vergogne. L’homme qui me caresse les seins est un Maghrébin d’une trentaine d’années et ...