Et si...
Datte: 07/04/2019,
Catégories:
fh,
fff,
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hotel,
douche,
amour,
fsoumise,
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fdomine,
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humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
massage,
rasage,
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fsodo,
hdanus,
hgode,
jeu,
fouetfesse,
amourdura,
Auteur: Lolabibop, Source: Revebebe
... :
— Non ! Je vais fermer les rideaux et tu vas te mettre nue !
La petite lueur dans son œil me fit obéir en un clin d’œil, mes habits glissèrent sur le sol et je me retrouvai nue face à lui.
— Ne bouge pas ! Maintenant je vais te bander les yeux.
Bizarre… mais pourquoi pas ? Mes yeux furent bandés, j’étais dans le noir le plus complet, debout, nue dans ma cuisine. Il s’affairait autour de moi, j’entendais des cliquetis, il me frôlait. C’est fou comme les sensations sont exacerbées lorsque la vue est hors compétition. Il m’invita à me coucher sur la table de la cuisine et je sentis qu’il nouait des liens autour de mes poignets et de mes chevilles pour m’attacher aux pieds de la table. Gentiment, il me mit un coussin sous la tête et me demanda si j’étais bien installée.
Disons que ce n’était pas comme ça que j’avais imaginé notre souper aux chandelles mais je préférais me laisser aller à la magie de la découverte… Je reçus la becquée tel un oiseau, alternance de sushis, de raisins, de mangue. Ma bouche sustentée par une nourriture terrestre, mon corps pincé, caressé, embrassé et mon orifice visité par une main et une bouche, ma foi très affamée.
— C’est trop dur, j’ai envie de te toucher.
— Seulement toucher ?
— Non ! je te veux !
— Tu veux quoi ?
— Toi !
— Tu veux que je te prenne ? que je t’enfonce ? que je gicle en toi ?
— …
— Dis-le !
Il ne faut pas pousser quand même… mais je pensais bien que tant que je ne disais rien, il ne se passerait rien… ...
... Aïe ! Dire ces mots et avoir l’impression tout à coup que ma langue est sale mais que malgré tout ce n’était que l’expression de ce que j’avais dans ma tête… assumer… mais pourquoi est-ce si difficile ? Oui, j’avais envie de me faire labourer par sa queue, oui quand le mot « cochonne » sifflait à mon oreille, j’étais excitée… mais… n’y tenant plus, dans un souffle je lui ai dit :
— Prends-moi, enfonce-moi et gicle dans moi…
Comme une libération ! Il détacha les liens de mes chevilles, releva mes pieds sur la table. Il me tortura encore un moment en promenant son membre merveilleux sur ma chatte trempée mais c’était sans compter sur mon désir. Je fis passer mes pieds autour de ses hanches et le forçai à s’enfoncer enfin… Ses coups de rein butaient en moi mais je n’étais pas encore suffisamment libre de mes mouvements et je ne le voyais toujours pas. Il ralentissait, s’arrêtait alors que mon plaisir partait au galop… il me frustrait.
— Détache-moi !
— Non ! C’est qui, qui décide ?
— Salaud !… c’est toi, murmurais-je.
— Le jour où tu m’attacheras, c’est toi qui décideras.
— Aaaaaaah ! Tu fais germer des idées, là… mais détache-moi.
— D’accord mais tu te tournes !
Les liens détachés, je me retournai et m’adossai à la table le cul dressé en attente. La fessée me surprit mais quel bonheur… il y avait si longtemps, depuis la première fois, non ? Aïe, les coups cuisaient, enflammaient ma peau et entre chaque coup, un coup de boutoir… le paradis n’était pas loin… le ...