Et si...
Datte: 07/04/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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Auteur: Lolabibop, Source: Revebebe
... graduellement. Je me suis enduit les mains d’huile et je les ai posées sur ses fesses pour le mettre en confiance. Ses fesses fermes, rondes, que je sentais tendues de nervosité, je les caressais doucement pour les calmer. Mes doigts glissaient doucement, tendrement, je les voulais calmes et dociles, je voulais qu’elles s’écartent et finissent par s’ouvrir pour m’offrir ce cul, cet orifice, cette rosette… Je voulais le trou béant qui appelle au plaisir comme cette verge devant, fièrement dressée.
À ce moment-là, je me suis désirée double, j’aurais voulu le sucer à pleine bouche et que ses mains empoignent mes cheveux pour me donner un rythme effréné et je voulais son cul vierge et fuyant pour le violer sauvagement au même moment. Je le voulais homme dominant, maître de son plaisir et homme soumis au cul apeuré… Quand on inverse les rôles, serait-il possible de quadrupler les postures ?
Ses fesses commençaient à me céder du terrain, son corps faisait des ronds comme s’il entrait en transe, sa fente s’ouvrait peu à peu, et son postérieur se rapprochait peu à peu de moi, il m’appelait. J’ai passé mes doigts le long de son périnée en appuyant un peu, l’effet s’est fait sentir tout de suite, son bassin s’est relevé d’un cran. Mes doigts tournaient autour de son anus et je profitai de la posture pour y glisser un plug. D’une main, j’empoignai sa queue sans ménagement et de l’autre je tournai le plug pour écarter son orifice, il râlait…
J’ai retiré le plug et j’ai passé au ...
... modèle supérieur, l’écarter, l’assouplir, le préparer à l’assaut final, le gros gode-ceinture… je lui plantai un gode dans le cul sans ménagement et me mis devant lui pour le sucer. De temps à autre je poussais l’objet un peu pour le faire pénétrer plus loin. Il était tout au délice de la pipe mais de temps à autre il disait qu’il avait mal. J’ai continué ce petit jeu en passant petit à petit au modèle plus grand mais quand j’ai vu sa souffrance, j’ai arrêté. Je l’ai détaché et il m’a prise en levrette. Nous nous sommes écroulés sur le lit, épuisés.
Face à cette offrande qu’il m’a faite, nous étions tous les deux puceaux. Ce soir-là, nous avons peut-être mis la charrue avant les bœufs et il fallait recommencer doucement.
Désormais, lorsque nous faisons l’amour, j’aime laisser courir mes doigts le long de ses fesses, c’est un délice de les sentir s’ouvrir et presque demander une caresse plus profonde. J’aime sentir ce trou m’appeler, entendre son souffle qui s’accélère, qu’il me donne ce qu’il n’a jamais donné à personne. Les godes sont dans le sac noir, nous le savons tous les deux. Il n’est pas exclu de nous y replonger… au contraire !
Un soir, l’écran de mon téléphone s’allume, un message de lui :
« Tu te souviens du livre dont tu m’as parlé au sujet de l’épouse anglaise du sultan ? »
Mais qu’est-ce qu’il lui prend ? Nous avons parlé une fois des livres qui avaient éveillé ma sexualité, de ces passages au détour du chapitre d’un livre historique dont rien ne ...