Soirée en quatuor majeur
Datte: 06/04/2019,
Catégories:
hhh,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
69,
légumes,
préservati,
pénétratio,
hdanus,
hgode,
hsodo,
jouet,
Partouze / Groupe
yeuxbandés,
Gay
Auteur: Wonderboy, Source: Revebebe
... sur la moquette de notre ami.
Je les remercie en les gratifiant d’un grand sourire et me précipite à la salle de bain pour un nettoyage en règle, la quantité de sperme reçue, venant de six éjaculations, fait qu’il est temps de se doucher.
De retour dans le salon - hypocritement, une serviette autour de la taille - je les remercie encore une fois pour le plaisir reçu. Ils sont tout ouïe à mes propos, et me font comprendre que ce n’est pas terminé, puisque l’on se retrouvera tous dans un grand lit, faute de place… ben voyons.
On passe à table et nous discutons de choses et d’autres, et bien sûr de sexe. Le plaisir anal solitaire à l’aide de godes ou de légumes, les parkings ou sauna, et la conclusion est vite vue : les plans salon sont les meilleurs. Je demande aux hommes s’ils se sodomisent souvent en solo, et Michel me répond qu’il a mieux qu’un simple gode. Lors d’un voyage en Californie, il a ramené dans ses bagages une « fucking machine », espèce de moteur muni d’un bras métallique et, au bout, le gode de son choix, avec télécommande pour gérer la rapidité de la pénétration. Ayant vu cela sur Internet, et ayant toujours voulu goûter au plaisir d’être baisé sans fin, je lui fais part de mon désir de tester la chose.
Il va dans sa chambre et ramène un gros sac de sport, qu’il déballe rapidement et il s’affaire à monter tous les accessoires ensemble. Il ouvre une boîte contenant cinq godes différents, parmi lesquels il me demande de choisir. J’opte pour un des ...
... plus gros, une bonne vingtaine de centimètres et un diamètre de facilement cinq centimètres. Il s’empresse de le fixer et de brancher la machine. Le moteur se lance, et le gode de faire de l’aller-retour d’une bonne amplitude. Il me donne la commande et je teste la machine et sa rapidité en visuel pour l’instant.
On se remet à table, mais mes yeux ne sont que pour cette machine. Michel s’en rend vite compte et nous fait la remarque que je ne puis attendre le dessert. Nous rions tous de bon cœur, mais en fait il a raison, et je le leur fais remarquer.
— Eh bien vas-y maintenant, tu seras notre dessert.
Michel propose de m’aider, je me mets à quatre pattes, m’enduis de gel, et me place au bout du gland de latex. Je me recule et le gland pénètre relativement facilement, je prends la commande, et l’enclenche en vitesse minimum. Le gode rentre lentement, vu la vitesse, mais pénètre à fond en une fois. L’avantage des machines : ça ne jouit pas, donc ça continue « ad vitam », mais par contre, la sensibilité humaine n’est pas au rendez-vous et le gode pénétrant à fond me surprend, me faisant un peu mal et surtout me déséquilibrant vers l’avant. Franche rigolade dans mon public, mais je ne m’avoue pas vaincu et recommence, Michel me suggère de le mettre en marche avant et de me placer ensuite, chose que je fais, et effectivement, j’apprends à mieux gérer la machine et mon équilibre. Le gode rentre maintenant profondément à vitesse régulière, mon plaisir s’envole et, doucement, ...