1. VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (4/20)


    Datte: 06/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... mais presque.
    
    J’essaye une autre méthode, je m’allonge, je tire de chaque côté et j’engage une agrafe, les autres suivent facilement, dès que je relâche mes poumons, ils se tendent et je suis tellement serré que j’ai du mal à respirer.
    
    Je me regarde dans la glace, l’effet de mes seins fortement comprimés va faire bander Hugo, si avec cette silhouette, il ne me baise pas aussitôt entré, je ne sais pas quoi imaginer de plus.
    
    C’est juché sur les chaussures les plus hautes que j’ai achetées en ville ce matin et avec ma guêpière sans aucune culotte que j’apporte mon contrat à mon amant, nue ou comme je suis, espérant que personne ne me croise.
    
    Je n’ai pas besoin de frapper, Olga m’ouvre, elle me prend par la main et me fait entrer dans la pièce où je suis venu l’autre fois.
    
    À part le lit rond, le décor a légèrement changé, plus de tables mais deux fauteuils placés côte à côte, le placard est ouvert, la cravache est là.
    
    Ce qui me saute aux yeux, c’est un homme debout les bras croisés entièrement habillé d’un costume en latex, même le visage est recouvert, seul un carré à hauteur de la verge fait apparaître son corps.
    
    Hugo est assis dans un fauteuil, je lui tends le contrat qu’il laisse tomber au sol.
    
    • Va sucer ce mâle, apprends ce que tu vas avoir à faire plus tard.
    
    Qu’est-ce qu’il veut dire, sa voix est cassante, je devais passer un après-midi de rêve et je me réveille en plein cauchemar, Olga avance, cravache en main, avant que j’aie le temps de me ...
    ... protéger, j’en prends un bon coup sur mes seins !
    
    Je cède et je me mets à sucer l’homme qui ne tarde pas à bander.
    
    L’homme me saisit, me projette sur le lit, me retourne et avant que j’aie le temps de comprendre, il me sodomise, je crie de dépit et surtout à cause du mal que je ressens. L’homme me besogne oubliant que moi aussi j’espère prendre du plaisir.
    
    La chance veut qu’il éjacule très vite, il se retire et je sens la cravache caresser mes fesses.
    
    Olga, la manie avec dextérité.
    
    Malgré le mal que je ressens au début, ma chatte s’échauffe après la première série de coups, je subis le bon vouloir d’Olga et de l’inconnu pendant la moitié de l’après-midi.
    
    Hugo reste stoïque tout le temps assis dans un fauteuil, à aucun moment il a un geste vers moi.
    
    Je ne comprends pas que tous ces coups de cravache, de bites, ses pincements sur mes mamelons ou mon clitoris au lieu de me rebeller, me procurent des jouissances phénoménales.
    
    Est-ce parce qu’Hugo me voit souffrir et jouir, que j’accepte tout et plus au bout d’un moment en redemande ?
    
    Quand l’inconnu montre des signes de fatigue après s’être servi de mon corps sans que je puisse résister !
    
    Quand l’homme me met sa bite dans la bouche et que j’essaye de le faire rebander et que je n’y arrive pas, la voix de l’homme qui n’a rien dit de l’après-midi lâche.
    
    • Hugo, elle est à toi, je n’ai plus de jus à lui donner.
    
    Après ces mots l’homme arrache sa cagoule et Pierre m’apparaît.
    
    Un cri sort de ma ...