COLLECTION VENGEANCE. Justice immanente (1/2)
Datte: 06/04/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
15 heures comme tous les jours de beau temps, j’entre dans le parc des Buttes-Chaumont près de chez moi.
15 heures comme toutes les fois où j’ai fini de frotter la maison de Mathéo, ce que je fais depuis presque vingt ans, date où nous avons emménagé étant follement amoureux.
15 heures ou 15 jours ou 15 mois que Mathéo oublie de me toucher alors que dans nos premières années, nous roulions partout où nous le pouvions pour qu’il me prenne.
Le lit bien sûr, la moquette souvent, plus pratique que le canapé trop exigu et où chaque fois, nous nous sommes retrouvés sur cette moquette sans l’avoir voulu, nous faisant éclater de rire.
Dans la cuisine, debout devant l’évier, une jambe relevée poser sur le plan de travail, son sexe me pénétrant divinement au fond de mon vagin, la sodo très peu pour moi bien que nous ayons essayé une fois.
La cuisine, lui sur une chaise et moi, m’empalant sur sa tige que j’avais préalablement sucée.
Sucée, un moment divin pour une femme amoureuse quand la tige de votre homme est peu tendue et que pour vous pénétrer, c'est la solution la plus efficace.
Mathéo qui m’a toujours refusé la maternité considérant que des enfants étaient la plaie des couples amoureux.
Mathéo qui malgré toutes les promesses faites de fidélité et autres conneries de ce genre à sa secrétaire comme maîtresse qu’il sexe le soir sur son bureau, comme il le faisait sur le bureau que je lui avais aménagé chez nous et où je le rejoignais du temps où il se ...
... souvenait que j’avais un vagin dégoulinant d’envie pour lui.
15 heures où je m’assois sur le banc, mon banc heureusement libre aujourd’hui, car les fois ou des personnes sont assises dessus, je suis frustré ayant le sentiment que le reste de ma journée va être fichu.
15 heures, mon banc, étant libre, me soulage, je remarque sur celui d’en face un jeune homme d’une vingtaine d’années semblant dévorer un livre, ignorant les gens qui circulent autour de lui.
Mathéo 2, il est aussi beau que Mathéo 1 qui à la longue m’a cocufié.
Mathéo 2, devant qui j’ouvre mes cuisses pour lui montrer ma petite culotte rose que je regrette avoir mise alors que sans, il verrait ma toison brune taillée tous les jours après mon retour du parc espérant que le sexe à qui j’appartiens se souviendra que j’existe.
Dommage, il se lève range son livre sous son bras et se dirige vers la sortie.
Je suis frustrée, tous ses efforts sur moi-même pour écarter mes cuisses vainement quand miracle, il fait demi-tour semblant avoir oublié quelque chose.
Il s’assoit à mes côtés et sans montrer qu’il me parle me demande.
• Combien ?
• Combien, pourquoi ?
• Arrête de me prendre pour un con, une femme qui écarte ses cuisses et qui montre sa culotte à un inconnu est une pute, combien ?
• Vous vous trompez, je suis une femme mariée et je vais sur-le-champ aller retrouver mon mari qui va venir vous casser votre jolie petite gueule.
• Admettons que je me sois trompé sur la pute, il faut bien ...