1. La partouze


    Datte: 05/04/2019, Catégories: grp, jeunes, inconnu, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral 69, préservati, double, fdanus, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe champagne, Auteur: Patrick D, Source: Revebebe

    Ami lecteur, toi qui t’aventures ici, sache que tu vas pénétrer en un monde de luxure et de fornication. Tu ne trouveras rien d’autre ici, car c’est bien le but de ce texte : du sexe, du sexe, rien que du sexe. Que les âmes sensibles, puritaines ou facilement effarouchées se le tiennent pour dit, et s’en tiennent à l’écart. Puissent les autres prendre autant de plaisir à le lire que j’en ai eu à l’écrire. Ami lecteur, enfin, sache que je n’ai pas voulu faire un « gonzo » car je n’y connais rien. Je suis par contre convaincu qu’on peut le qualifier de « total sexe. » Alors, ami lecteur, cale-toi bien dans ton siège, car voici que s’ouvrent les portes de :
    
    La partouze
    
    J’ai versé tout le champagne qui restait sur ses seins, une demi-bouteille au moins ! Bordel, qu’est-ce que j’en avais envie, elle les avait plantureux ! Elle, c’était la brune, aux cheveux longs et ondulés, je ne me souviens plus de son nom. Du Dom Pérignon, pas de la merde. Il coulait en faisantpssscchhht sur ses globes, puis descendait vers son ventre et son sexe. Je regardais le truc en souriant, béat. Je restais fasciné par le flot qui se divisait autour de ses mamelons. Le champagne froid et l’excitation les faisaient pointer, durs. À genoux, elle tendait son buste en avant, pour accueillir le précieux liquide. Je ne savais pas trop si elle rigolait ou si elle gloussait de plaisir.
    
    La blonde s’est rappliquée en vitesse. Celle-là s’appelait Murielle, je m’en souviens parce que j’avais trouvé ça ...
    ... cruche comme prénom. Plus personne ne s’appelait Murielle aujourd’hui. Surtout pas à son âge, elle ne devait pas avoir plus de vingt ans. Elle avait des petits seins, moins de la moitié de l’autre mais un sourire à vous scier les pattes, et un cul ! une Vénus callipyge. Elle s’est allongée sur le dos et a glissé sa tête entre les jambes de la brunette en me faisant un clin d’œil.
    
    — Faut pas perdre tout ce bon champagne ! elle a dit, puis elle a collé les lèvres de sa bouche à celles plus intimes de sa copine.
    
    Le champagne glissait sur le ventre de Brunette, dans sa toison, et finissait sur le visage de Murielle. Elle sortait la langue pour le lamper et filer de grandes lèches à la chatte de Brunette.
    
    À cinquante centimètres de nous, Julien et un autre type que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam étaient assis à poil dans le divan. Ils se faisaient sucer par la troisième fille, celle qui disait s’appeler Jessica. Elle avait des formes plus généreuses, sans être grosse. Légèrement ronde, comme on dit aujourd’hui.
    
    À genoux sur la moquette, entre eux deux, elle tenait une queue dans chaque main et les pompait à tour de rôle. Un moment, j’ai tendu le bras et j’ai glissé un doigt dans sa chatte. C’était chaud et humide, agréable. Elle s’est cabrée, un peu, en grognant doucement. Mais comme je voulais rester concentré pour ne pas gaspiller le champagne, j’ai retiré ma main rapidement.
    
    Quand la bouteille a rendu l’âme – la dernière goutte venait de s’écraser sur le sein ...
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