1. AU FENIL


    Datte: 05/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Emile, Source: Hds

    La nuit tombe en cette douce soirée d'automne lorsque je croise ce vaillant ancêtre sac au dos. Il a plus de 60 ans mais son pas est alerte et son physique intéressant. Je sens son regard captivé sur mon anatomie mise en valeur par cette tenue de fondeuse très prés du corps. Je continue à courir à mon rythme. Je l'imagine osant m'interrompre dans mon effort pour me proposer de batifoler dans l'une des nombreuses micro-clairiéres qui peuplent le taillis voisin. Mon cœur s’accélère et le rouge me monte aux joues. J'aime mon anatomie assez peu en rapport avec mon sport préféré et j'aspire à m'exhiber et à susciter la concupiscence en bien des occasions. Mon cerveau est peu à peu envahi de désirs inavouables et je redouble d'effort pour faire cesser ces pulsions, mais rien n'y fait. Je finis par m’arrêter et entrer dans le taillis. A l'abri des regards, je me dénude et commence à me toucher. Je caresse mes épaules puissantes, mes seins ronds et fermes, mes fesses rebondies, mes larges hanches et mon sexe proéminent qu'une courte toison blonde met en valeur. Je plonge avec délice entre mes fesses et mes grandes lèvres. Je m'agite et détrempe mon vagin et mon cul de salive, mais rien ne vient. La caresse devient douloureuse et l'excitation tend à tomber. Rapidement revêtue, je reprends ma course en sens inverse pour essayer de rattraper le sexagénaire. L'envie de batifoler est trop forte.
    
    La nuit est tombée et je ne reconnais pas le chemin. Une fine bruine commence à alourdir ...
    ... mes vêtements. Le ciel bas obscurcit l'horizon et les obstacles du chemin sont à peine visibles. Je ralentis mon pas. Au bout de quelques foulées, mon pied se prend dans un branchage et je chute sans me faire vraiment mal. La fatigue commence à me gagner et je décide, complètement perdue, de chercher un abri. Je marche un long moment et l'inquiétude me guette. Une grange hospitalière s'élève alors devant moi et j'y pénètre sans crainte. Elle a déjà du servir d'abri car une partie de la paille est éparpillée au sol. Je m'y allonge et m 'endors d'un sommeil profond peuplé de rêves érotiques. Le vieil homme, à demi nu, m'y déshabille. Son vit est dressé et effleure ma cuisse. Je sens son souffle sur mon cou et la sensation est agréable. Il pousse mes jambes en arrière et va pénétrer mes fesses de son membre, et... Une impression de fraîcheur me réveille et je découvre que mon corps a été dénudé pendant mon sommeil. Je suis couchée sur le dos dans le plus simple appareil, bras et jambes largement écartés. A mes côtés, deux formes humaines sombres sont agenouillées et bientôt me manifestent leur intérêt par mille caresses qui me mettent en transes. J'ignore qui ils sont et comment ils sont faits. J'ignore jusqu'à leur sexe. Mais je me prête totalement à leurs jeux dans le noir absolu de la grange. Lorsque leurs gestes m'y incitent, je m'installe à quatre pattes, les cuisses largement ouvertes. Deux puis trois doigts humides violent mon cul. Une fine main écarte progressivement mon ...
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