1. Prise devant mon mec (7)


    Datte: 04/04/2019, Catégories: Gay Auteur: donico, Source: Xstory

    ... centimètres de queue d’un seul coup.
    
    La masse de chair a manqué m’étouffer, mais je suis parvenu petit à petit à retrouver mon souffle. Ensuite, ce qu’il me restait, c’était les sensations de la fellation qu’il m’imposait.
    
    Déjà, il y avait le sentiment d’humiliation. Atroce, poignant. J’étais agenouillé devant lui, son sexe dans ma bouche, comme une vulgaire putain. Sauf que j’étais un mec, merde !
    
    Ensuite, il y avait la douleur. Cinglante. Mes genoux me faisaient mal, mes cheveux – qu’il tirait toujours pour m’insuffler son rythme – vivaient un calvaire.
    
    Enfin, il y avait le reste :
    
    L’étouffement, lorsque son membre entrait et sortait de ma bouche, inlassablement, ne me laissant respirer que par le nez.
    
    L’odeur, forte, de son sexe, encore accentuée par le liquide séminal qu’il sécrétait abondamment et sans discontinuer.
    
    La masse même de son sexe, chaud, palpitant, veineux, trempé de ma salive et de sa mouille.
    
    Ses poils pubiens, que je voyais en gros plan juste sous mes yeux, approchant et reculant au gré de ses mouvements. Il y avait quelque chose de terrifiant dans ce sexe immense, brûlant, dont seule une partie entrait dans ma bouche, et dont le reste s’offrait en défi à mon regard.
    
    Et ses couilles, ses énormes couilles, que j’apercevais balloter, à la frontière de mon champ de vision. La seule pensée de la quantité de sperme que pouvaient contenir ces monstres m’a fait frissonner une nouvelle fois.
    
    — Tu aimes, petit PD ? m’a-t-il ...
    ... demandé.
    
    La question était de pure rhétorique ; d’une part car il savait bien que non, et d’autre part car il était bien évident que je ne pouvais pas répondre, avec ma bouche pleine comme elle l’était. Mais mon absence de réponse ne le gênait pas, ce n’était de toute façon sans doute pas pour moi qu’il parlait, mais pour lui. Tout était toujours pour lui.
    
    — Tu suces bien, a-t-il encore commenté. Putain ouais, c’est trop bon ! Je suis sûr que tu fais ça souvent, non ?
    
    Je ne répondais toujours rien, mais cela rajoutait à l’humiliation. De quoi pouvais-je bien avoir l’air en cet instant ? Que ce serait-il passé si Alexia était entrée ? Je préférais ne pas trop y penser.
    
    — Même Alexia ne suce pas aussi bien que toi, et pourtant c’est une sacrée salope !
    
    Ses paroles m’ont fait frémir. Il mentait ! Il mentait forcément… Mais en même temps, comment en être sûr ? Il avait un tel ascendant sur les gens, et d’abord sur Lexie et moi. N’étais-je pas en train de le sucer dans les douches collectives d’un sauna, alors que ma propre petite amie était juste à côté ? Ne l’avais-je pas vu la caresser il y a encore quelques minutes ? Et qui sait jusqu’où ils étaient allés ?
    
    — Ça a commencé dès le deuxième jour, elle m’a branlé dans les chiottes de la boîte. Tu le crois ça ? Mme Saint Nitouche, elle faisait moins sa maline avec mon sperme sur la gueule et sur les nichons. Putain quels nichons elle a !
    
    Je subissais ses paroles en continuant à recevoir sa grosse bite en moi, il me ...
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