La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1133)
Datte: 04/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... en signe d’une parfaite soumission. En silence elle tourna tout autour doucement en me regardant de la tête au pied. Puis elle empoigna mes couilles sans ménagement et me regardant droit dans les yeux, elle m’obligea à lever la tête afin de croiser son regard sadique
- Ecoute-moi bien, petit chien, me dit-elle, tu es là pour nous aider à la ferme, mais je compte bien aussi t’essayer afin que tu me donnes du plaisir … Alors un seul conseil ; tu nous obéi au doigt et à l’oeil
- Oui Madame, répondis-je
- Ici, tu m’appelleras ‘Maîtresse’ et Jacques, tu l’appelles ‘’Maître ‘’. Est-ce clair ?
- Oui Maîtresse … bien Maîtresse… répondis-je alors que mon sexe montrait déjà des signes d’excitation en commençant à se dresser.
Alors, elle lâcha mes couilles et me branla quelques secondes mais sans jamais quitter son regard fixe. Un regard de Domina qui me fit à la fois peur mais qui m’excitait aussi beaucoup.
- Louise ! s’exclama son compagnon, laisse le tranquille pour le moment … tu joueras avec ce chien une autre fois, pour le moment nous avons du travail. Commençons par le plus urgent, la fabrication des fromages. Nous devons chaque semaine faire le marché de Villefranche/Saône et tu sais combien nos fromages sont appréciés par la clientèle. Emmenons ce ‘Jacques’ à la fromagerie…
A peine avait-il finit sa phrase qu’il empoigna la corde et tira dessus. D’un pas rapide, il avança en direction du bâtiment de droite, ce qui m’obligea à le suivre en trottinant car ...
... il se déplaçait très vite par rapport à Walter qui paradoxalement avec son 4x4 était allé à une allure très lente.
Noua entrâmes dans cette bâtisse de pierre. Jacques ralentit l’allure pour de suite descendre des escaliers de pierre étroits, abrupts et droits, aux murs humides de salpêtre. Louise était derrière moi et me flattait parfois les fesses de quelques coups de badine. C’est une haute porte métallique qui nous donna l’accès à une immense cave voûtée où de suite une odeur forte de laitage quasi écoeurante me montait à la gorge. Le sol très propre était entièrement carrelé ainsi que les murs également. Je remarquai aussi les très nombreux rayonnages alignés et agencés telle une bibliothèque. Mais ce n’étaient pas des livres qui y étaient stockés mais des fromages. Il y en avait des centaines remisés, empilés, de tout calibre, de toutes sortes… Je me posais alors la question, pourquoi ils avaient encore besoin d’en fabriquer pour le marché alors qu’à l’évidence, il y avait largement du stock en avance. Certainement que ceux exposés devaient avoir une autre destiné que les étals de Villefranche/Saône !
Au milieu de la pièce, j’aperçu deux esclaves qui, devant une large et longue table en inox, étaient en train, de tirer des cuillérées avec une grosse louche-passoire ovale du fromage blanc, d’un énorme faitout qui devait faire 100 litres. Ils plaçaient les fromages blancs frais dans les nombreuses faisselles plastiques alignées dans de grandes cagettes en inox. Les ...