Jessica, ma meilleure amie (1)
Datte: 04/04/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Moon77, Source: Xstory
... contracter violemment tandis qu’elle hurla de plaisir.
— Oh putain oui !! Aaaah ! Vas-y encore oui !!
Je pinçai son téton en la défonçant à toute vitesse de mes doigts. Des giclées de cyprine m’arrosaient le visage, ma langue continuant de balayer son petit bouton. N’en pouvant plus après bien 30 ou 40 secondes d’orgasme intense, elle repoussa ma tête en serrant les cuisses, prise de spasmes violents. Ses nichons se balançaient au rythme de ses convulsions. Pendant un bref instant, j’eus peur pour sa santé, me rappelant sa fragilité cardiaque.
Mais elle ouvrit les yeux et me fit un sourire lumineux qui me rassura.
Je retournai sur le canapé, le sexe encore plus raide si c’était possible.
Elle le leva à nouveau et rampa vers moi, le regard enfiévré dirigé vers mon mât. Elle me prit directement en bouche pour la pipe de ma vie. Sa bouche coulissait délicieusement autour de ma queue, tantôt langoureusement, tantôt rapidement. Elle frappait mon gland sur sa langue avant de me reprendre en gorge profonde sans se servir de ses mains. Puis elle me branlait ensuite en me pompant à toute vitesse, son autre main entre ses cuisses pour se branler. Elle prenait un plaisir visible à me sucer. Ses gros seins oscillaient au rythme de ses mouvements, appel irrésistible à mes caresses. Cela lui donna l’idée de coincer ma queue entre ses nichons pour une cravate de notaire infernale. Elle léchait le bout de mon gland à chaque descente. Je ne sais pas comme j’ai fait pour ne pas ...
... envoyer la purée et l’asperger de toute la sauce qui bouillonnait dans mes testicules. Peut-être l’impression de faire quelque chose de tabou, bien que délicieux, le sentiment de culpabilité stupide envers Myriam, alors que c’était fini entre nous.
Jessica me dit alors :
— J’en peux plus, j’ai trop envie de ta bite en moi !
Que répondre à ça à part :
— Viens !
Elle se mit à califourchon au-dessus de ma queue dressée. Puis elle se frotta la vulve sur toute la longueur de ma bite. J’avais ses seins au dessus de moi et je me mis à lui téter les tétons comme un affamé.
Elle me regarda dans les yeux, alors que mon gland était à l’ouverture de sa chatte béante. Le moindre mouvement d’elle comme de moi et nous passions le point de non retour dans notre relation amicale. Jusque là, nous avions conscience sans en parler que nous étions alors deux amis qui s’était donné mutuellement du plaisir. C’était un moment d’égarement entre deux jeunes adultes souffrant de la solitude. Nous pouvions nous arrêter là et en reparler dans quelques temps en rigolant et en se promettant qu’il n’y aurait pas de séquelles ni de suites.
— Il ne faut pas qu’on tombe amoureux, lui dis-je très sérieusement.
Oui, je n’étais pas amoureux d’elle. Elle était mon amie. Ma meilleure amie. Je ne voulais pas pourrir notre relation avec des sentiments qui ne seraient pas réciproques. Je n’avais pas de place pour elle dans ma vie sentimentale merdique. Entre mes deux ex, mes problèmes de santé, ...