1. Le feu couve sous la Braise 02


    Datte: 04/04/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bybadine, Source: Literotica

    Il se crispe, il a joui. Il se relève. Tu es une bonne esclave Marie, je vais te garder. Fouad, Malik attachez la bien. On la prendra ce soir.
    
    Je suis déplacée sans ménagement par les deux potes d'Armand. Ils me menottent les mains dans le dos. Ils menottent aussi mes pieds, un bâillon complète leur œuvre. Je suis complètement paniquée. Je pleure, essaye de crier, de me débattre. La lumière s'éteint. Je hurle dans mon bâillon.
    
    Je perd la notion du temps, Plusieurs heures après je pense la lumière s'allume ils reviennent Armand est la. Je suis détachée il me laisse le bâillon et me plaque contre le mur. Armand s'approche de moi.
    
    Petite chienne je suis sur que tu en veux encore. Hein, Réponds.
    
    -"Oui."
    
    C'est bien, j'ai bien lu tes papiers tu es une sale bourge. Cela me fait encore plus plaisir de t'avoir ici. Fouad vas te prendre ensuite on verra.
    
    Il me tient par le cou je sens d'autre main me malaxer les fesses. D'une main ferme il me guide a terre ou je suis mise a quatre pâtes.
    
    La encore, il n'y a pas de préliminaires. Je crie lorsque le sexe de Fouad me pénètre. La levrette se passe sans aucun sentiment, a part le souffle rauque de mon violeur.
    
    Il fini rapidement sont œuvre.
    
    Je m'effondre, sans force.
    
    Armand fat sortir ses deux potes, Il se penche sur moi. Pas mal pour une première. Je te sens gourmande. Tu aimes cela, cela te change de ton missionnaire avec ton copain. J'ai bien lu tes papier je te conseille de ne parler de ce que tu viens de ...
    ... vivre a personne sinon la bate que tu as vu tout a l'heure servira.
    
    -"Tu m'as comprise?"
    
    -"Oui."
    
    -"Oui qui?"
    
    -"Oui maître!"
    
    C'est bien tu apprends vite. Je pense que l'on peux faire des choses tous les deux. Si j'ai envie de toi je te le dirais.
    
    -"Allez habilles toi. Et casse toi. "
    
    Je me jette sur mes habits que j'enfile à la hâte.
    
    Et n'oublie pas ta came. Petite droguée.
    
    -"Allez viens la." Il m'embrasse. Je ne lui résiste pas.
    
    Je suis rentré chez moi épuisée. Marquée je n'était plus la même. Pendant deux semaines je n'ai plus entendu parler d'Armand. Je reprenais peu à peu ma vie d'avant.
    
    C'était un mardi soir, j'était seule ce soir la, Quelqu'un a frappé chez moi. J'ouvre c'était Armand. J'étais pétrifiée. Il rentre et referme la porte derrière lui.
    
    -"Alors Marie, on n'est pas contente de revoir son maître."
    
    -"Euh non mais si.?"
    
    A voila cela me fait plaisir, rappelle toi, il me semblait que la dernière fois tu n'avais pas pris ton pied, j'avais envie de rattraper ça.
    
    -"Allez, viens embrassez ton maître."
    
    J'y vais a reculons. Il m'embrasse sa langue s'enfonce longuement. Il m'entraîne vers le canapé. On discute, je lui parle de ma vie. Il visite même mon appart. Il parle fringue, je le trouve bien habillé.
    
    Il m'interroge sur ce je suis, questionne ma vie. Oui c'est vrai j'ai un mec pas mal, bourge c'est sur, sympa oui je peux le dire. Armand, me demande si cela me plait d'être presque mariée et de baiser en missionnaire. ...
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