1. Le gang des souleveuses 2/3


    Datte: 02/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Bgp, Source: Hds

    Je n’ose répondre et malgré cette situation humiliante, mon pénis se dresse toujours fièrement. Je sens leurs parfums et la chaleur qui se dégagent de leurs corps immense. Gloria qui se trouve derrière moi passe ses mains sous mes aisselles et appliquent une pression telle que je me retrouve sur la pointe des pieds.
    
    — En effet tu es vraiment léger comme une plume ! Voyons voir ce que je peux faire avec ce corps de fillette.
    
    Elle augmente encore la force sous mes bras et mes pieds quittent le sol. Elle continue à me soulever dans un mouvement que seule une force colossale permet d’être aussi lent. Je gigote comme un ver, mais l’étreinte de Gloria est bien trop puissante pour que je m’en échappe. Mes pieds se retrouvent bientôt à plus d’un mètre du sol quand la belle arrive à bout de course. Mon tee-shirt s’est relevé et dévoile ma taille fine et mes côtes apparentes. Mon sexe se trouve à hauteur des yeux des amazones et ne semblent aucunement terrifié par la situation, même si je me sens humilié somme jamais.
    
    — Pose moi par terre grosse brute ou tu vas voir !
    
    — Pardon ! Tu viens de me traiter de grosse ! Tu crois vraiment que je pourrais te manipuler comme ça si je n’avais que de la graisse ! Et tu crois vraiment qu’un gringalet de 45 kg qui n’a que la peau sur les os pourrait m’empêcher de faire ce que je veux avec son corps chétif !
    
    Me rendant compte de mon erreur, je tente de rattraper le coup.
    
    — S’il te plait Gloria, je sais que je ne suis pas de taille. ...
    ... Pose moi par terre, tu me fais mal.
    
    La grande brute est trop énervée pour me laisser tranquille, et c’est la que Véronique dont les yeux se trouvent juste devant mon pubis et chez qui j’ai toujours perçu un côté vicieux, pose ses grosses mains autour de ma taille de guêpe.
    
    — Il est si mince ! J’arrive presque à faire le tour de sa taille avec mes mains. La situation n’a pas l’air de lui déplaire autant que ça ! Son petit zizi est encore tout dur ! Regardez !
    
    Sans que je m’y attende, Véronique passe ses gros doigt sous l’encolure de mon pantalon et de mon slip, et les baisse brutalement jusqu’à mes genoux. Je me retrouve les fesses à l’air, exposant mon pubis imberbe et mon petit sexe dressé à la vue des trois amazones, toujours pendu en l’air par la seules force des gros bras ce cette brute de Gloria, qui a une vue imprenable sur mon petit cul.
    
    — Wow ! Tu as de si jolies petites fesses ! Et tu n’as pas un poil. On dirait un abricot.
    
    Posant sa grande bouche ouverte sur une de mes petites miches, je sens ses dents sur ma peau qui se referme jusqu’à ce que la douleur soit si forte qu’elle me tire des larmes et que je crie. Un cri si aigu que je ne suis même pas sur qu’il vienne de moi. Il suffit cependant à arrêter Gloria de tenter de déchirer mon petit cul comme un fruit trop mûr, laissant quand même un belle marque de morsure.
    
    — C’est quoi ce cri ? Tu es sûr d’être un homme ?
    
    Les trois grâces se mettent à rire face à ma réaction. J’abdique et relâche tous ...
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