1. Le concours 4


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Anal Sexe Interracial Mature, Auteur: leger69, Source: xHamster

    ... mains repliées devant mes omoplates, et je jappe, j’imite les petits aboiements aigus et geignards du chien qui crève de sortir pisser.
    
    « Tu veux encore de la viande ? »
    
    Je hoche la tête très vite en signe de contentement et ouvre la bouche pour tirer la langue au maximum en haletant bruyamment. Je veux qu’ils me déglinguent.
    
    Tout part en furie d’un coup. Je les ai surexcités, poussés au bord de leurs pulsions. Il me soulèvent de terre pour m’embrocher sur le premier pendant que l’autre s’installe déjà dans mon cul et les deux se déchainent dans mes fesses, je ne sais plus qui est où, je crie, je rie, j’éjacule, je pisse, je pleure, je hurle à la lune, pleine de leurs énormes bites qui font fumer mes trous.
    
    Thomas lâche enfin sa caméra pour venir me remplir la bouche en me tirant par les couettes et balance déjà toute la sauce après seulement quelques allers retours dans ma gorge pendant que les deux lions me font exploser le ventre en stéréo. J’ai l’impression d’être dans un jeu vidéo, un dessin animé. Belle et les mastards...
    
    Je fais des bulles de sperme pendant que Thomas reprend sa caméra pour filmer mon visage en gros plan. J’ai envie de parler. J’ai envie de lui dire.
    
    « J’aime le foutre...j’aime les queues...les grosses queues qui m’enculent...mon chéri...tu vois ?...tu vois ce que fait ta femme quand tu travailles ? Je me fais sauter....par des grosses queues....tellement plus grosses que la ...
    ... tienne....embrasse moi.... »
    
    Et je pose mes lèvres poisseuses sur l’objectif de la caméra, étalant le foutre dessus pour le lécher encore un peu et me retape un violent orgasme en imaginant mon mari regarder la vidéo.
    
    Les deux monstres sortent de mes fesses. Je veux les remercier avec ma bouche et je les pipe ensemble, passant d’un perchoir à l’autre, comme un oiseau qui s’abreuve au printemps, branlant tout ce que je peux pour bien faire monter leur sauce, qu’elle m’éclabousse, qu'elle m’asperge le visage. Je les branle maintenant à toute vitesse, les serrant fort dans mes poignets, je fais monter le jus qui doit faire tout le voyage des couilles jusqu’au méat, j’ai l’impression de branler des chevaux de trait...ça y est, ils vont jouir, j’ai juste le temps de poser ma bouche sur leurs glands, qu’elle se déforme pour les accueillir ensemble, et leur sperme jaillit par flocons, remplissant ma gorge comme une cave inondée par l’orage. Leur éjaculation simultanée est si puissante que le foutre me ressort par le nez pendant que j’avale, comblée, tout ce que je peux.
    
    Je reste un long moment à les nettoyer et les léchouiller pendant qu’ils se reposent et que Thomas filme toujours. J’en profite pour me caresser à nouveau dans ce moment d’une intense douceur et quand Thomas revient filmer mon visage de près, j’entends ma bouche dégoulinante murmurer dans un dernier orgasme
    
    « Je t’aime chéri...tu sais...je t’aime... » 
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