1. J'ai testé Rêvebébé : Le cinéma


    Datte: 31/03/2019, Catégories: fhhh, inconnu, cinéma, facial, Oral pénétratio, totalsexe, hfff, Auteur: Alex, Source: Revebebe

    Lectrice assidue de Rêvebébé, je me suis toujours demandé si les histoires qui y sont racontées étaient vraies ou pas. Après de très nombreuses lectures, je suis arrivée à la conclusion que certaines pouvaient l’être, mais sans pourtant vraiment arriver à croire que les événements décrits pouvaient réellement se passer ainsi. J’en ai discuté avec mon mari qui lit également les histoires du site et qui pense que les équipées décrites dans les aventures qui paraissent les plus réalistes sont sûrement vraies. Pas convaincue, je lui ai fait part de mon envie d’essayer de reproduire les situations qui me semblaient difficilement réalisables. Cela le surprit, car je ne suis pas une femme exhibitionniste, échangiste ou ayant la vocation d’être soumise, mais c’est sans doute pour cela que l’expérience me tentait. Après quelques jours d’insistances, je réussis à le convaincre.
    
    Ma seconde expérience : le cinéma
    
    De retour à mon point de départ, je téléphone à mon mari pour lui raconter mon aventure métropolitaine. Il me dit qu’il est fier de moi pour le courage dont je viens de faire preuve, mais il me reproche de ne pas l’avoir averti que je commençais mes expériences aujourd’hui. Après lui avoir expliqué que la décision s’était prise d’elle-même, il l’accepta avec compréhension. Je l’informe alors que je vais poursuivre mon aventure au cinéma, le… de la rue… afin qu’il vienne me chercher après la séance.
    
    — Tu ne veux pas que je t’accompagne ?
    — Non, non, cette expérience ...
    ... aussi je veux la tenter toute seule.
    — Bon, comme tu veux, ma chérie. À tout à l’heure alors ?
    — Oui mon amour, vers 19 heures, 19 heures 30.
    — Je t’embrasse, sois prudente tout de même.
    
    Après m’être désaltérée dans un café et lavé les mains (surtout une…), je me rends au cinéma. Naturellement, compte tenu du genre d’expérience que je souhaite tenter, il s’agit d’un cinéma porno, vous vous en doutiez. Curieusement, sans gêne ni peur d’être vue par une quelconque connaissance, je prends tranquillement mon ticket d’entrée auprès du caissier et j’entre dans le ciné. Me voici dans le hall central, je cherche le numéro de la salle correspondant à celui noté sur mon ticket. Je m’approche de la porte, prends une longue et profonde aspiration, puis je souffle doucement comme pour éliminer le stress que je sens monter en moi.
    
    J’ouvre la porte, elle est lourde et naturellement elle grince ; pour la discrétion, c’est raté. Je ne veux pas attirer l’attention sur ma présence en restant figée là, mais la salle est très sombre et je n’y vois pas suffisamment pour avancer. Je suis donc obligée d’attendre quelques secondes afin que mes yeux s’habituent à l’obscurité. Ça y est, je commence à distinguer les fauteuils et les silhouettes qui les occupent. Je profite d’un soudain éclairage tamisé dû à une image plus lumineuse sur l’écran pour m’avancer. Les spectateurs étant un peu dispersés dans toute la salle, sans doute pour préserver un peu d’intimité, le choix d’une place n’est pas ...
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