Safari au Kenya-1
Datte: 31/03/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
inconnu,
vacances,
fsodo,
Auteur: Jessey, Source: Revebebe
... dans mon vagin lubrifié de cyprine son sexe engorgé de sang. Je reculai mes fesses afin de recevoir au fond de moi ce membre qui distendait mes parois. C’était bon et je me mordis à sang le creux de la main pour ne pas crier de plaisir.
Willy, dont je sentais le ventre mou contre mes fesses, entamait à présent doucement de longs va-et-vient. Un orgasme éclata à nouveau, me poussant à coller mes fesses contre son ventre. Les spasmes qui me secouaient développèrent son excitation et, alors que je ne m’y attendais pas, il se contracta et se déversa au fond de moi, inondant mon vagin de son liquide chaud.
Je ne me retirai pas, acceptant par la force des choses ce sperme visqueux.
Willy laissa son sexe se vider de ses dernières gouttes au fond de moi pendant quelques instants encore et se retira lentement, me laissant béante. J’avais apprécié la présence en moi de ce membre que je sentais beaucoup plus gros que celui de Fred.
Puis Willy passa un doigt dans ma chatte détrempée de cyprine et de sperme et l’enfonça une dernière fois dans mon anus qui ne résista pas à cette nouvelle pénétration. J’avais pris un pied terrible.
Je sentais que ce liquide visqueux commençait à s’écouler sur mes cuisses et dans mon sac de couchage, et je tendis la main droite afin d’attraper un mouchoir en papier dans mon sac. J’en fis comme une couche, le plaquai sur mon sexe et remontai mon jogging sur mes hanches. J’entendis Willy se replacer dans son couchage en soufflant fortement. ...
... Fred n’avait rien entendu et Suzanne, retournée vers la toile de tente, dormait paisiblement.
J’attendis quelques minutes en reprenant mon souffle et mes esprits et je décidai de sortir prendre l’air en prenant avec moi mon paquet de cigarettes. Je sentais entre mes jambes une humidité débordante qui me gênait et qui commençait à coller. Il fallait que j’aille m’essuyer.
Je pris le paquet de Kleenex dans mon sac, me dégageai de mon duvet et sans faire de bruit abaissai la fermeture de la tente. Avant de sortir, je ne pus me retenir de me retourner pour voir Willy.
Celui-ci s’était endormi brutalement après sa saillie et commençait déjà à ronfler.
Quel goujat, pensai-je en sortant ! Il s’était servi de mes fesses et de mon sexe pour assouvir ses pulsions et maintenant il dormait comme si de rien n’était, les bourses apaisées…
En sortant de la tente, je me mis à respirer un grand coup, encore sous le choc de ce qui venait de se passer sous la tente avec cet inconnu. Je me mis à me culpabiliser.
J’allumai une cigarette, le fond de mon jogging était véritablement détrempé. Près du feu de camp qui brûlait, éclairant de son halo le campement, j’aperçus Kiprugut assis sur un mini-tabouret et entretenant les braises. Il m’entendit, se retourna vers moi et, avec un grand sourire qui tranchait avec sa peau noire, il m’invita à m’asseoir sur une grosse pierre à moins d’un mètre du foyer.
La nuit était étoilée, l’air était doux en cette saison, il devait être plus de ...