1. COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, saison III (3/4)


    Datte: 31/03/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... par de grands noirs au fond de l’impasse où je vous aie vues !
    
    - Pour commencer, comment vous appelez-vous ?
    
    - Mira madame.
    
    Je vais vous donner une explication, le sénateur mon mari dont vous me permettrez de taire le nom, est décédé il y a deux ans.
    
    Enterrement presque national, il avait été ministre il y a de nombreuses années.
    
    Nous avions un groupe d’amis avec lesquels nous avions fini par être très proche.
    
    Nous étions des libertins, le sénateur était un libertin, alors que j’avais été élevée dans un couvent de province pour jeunes filles de bonne famille.
    
    Il m’a entraîné dans sa débauche.
    
    Je dois dire qu’au fil du temps, les parties carrées, les partouzes sont devenues si courantes que j’ai beaucoup aimer me faire faire l’amour par des hommes des femmes et la plupart du temps tous en même temps.
    
    Quand il m’a quitté, j’ai gardé de nombre de ses amis, mais tous ont respecté la veuve que je suis devenue.
    
    Il y a un an, un jour en promenant Loulou, un homme mal rasé m’a proposé de refaire ce que j’avais perdu de faire.
    
    C’est dans cette impasse qu’une première fois, j’ai cédé à un Indien cherchant à vivre en France.
    
    J’ai pris goût à ce sexe sauvage qu’ils me procuraient et j’ai continué.
    
    J’ai rencontré celui que vous avez appelé Mamadou, c’est la plus grosse verge que j’ai eue en moi et l’insolite de l’endroit moi qui n’avait à ce jour baiser que dans des salons luxueux a ajouté à ma jouissance.
    
    - Vous connaissez donc la puissance de ...
    ... Mamadou, si vous aviez connu celui que j’attends et qui me manque, vous auriez su ce qu’un homme peut apporter à une femme.
    
    Il s’appelle Muller, le frère de d’Artagnan.
    
    - Voulez-vous prendre une douche, vous pourriez venir dans ma cuisine laver vos vêtements.
    
    Savez-vous démarrer une machine à laver ou j’appelle ma bonne Anglaise pour qu’elle le fasse.
    
    Refaire une tâche ménagère, moi qui trouvais que j’étais trop dépendante de Sylvain, je retrouve l’envie de le faire.
    
    Elle me conduit dans la cuisine.
    
    La machine est là, là ou dans le temps, ma pudeur aurait fait que de me déshabiller devant une inconnue m’en empêche, le nombre d’étapes franchi dans ma déchéance volontaire pour le plaisir d’avoir le sexe de Muller en moi m’a ôté toutes barrières.
    
    Tourner les boutons afin de démarrer, mettre sur séchage, la machine étant mixte, en quelques secondes elle tourne.
    
    Madame Adèle m’entraîne dans sa salle de bain.
    
    - Qu’avez-vous sur les bras, vous droguez-vous ?
    
    - Pas du tout, ce sont des vitamines pour avoir chaud qu’Olga l’infirmière me met dans les veines.
    
    - Malheureuses, vous risquez votre vie, dans mon milieu dans nos partouzes, nous snifions de la coque, mais jamais nous ne touchions à ce genre de produits.
    
    Je monte dans la baignoire, elle fait tomber son peignoir m’apparaissant dans toute sa nudité.
    
    Elle démarre l’eau qu’elle règle à bonne température et sans me donner l’impression qu’elle fait ça pour la première fois, elle commence à me ...