1. Mûres30 Katharina,60ans,mouille beaucoup


    Datte: 31/03/2019, Catégories: Hardcore, Mature, Auteur: langauchat, Source: xHamster

    Comme je ne baise que des vieilles esseulées, j'ai pu négocier avec Katharina, 60 ans: on va baiser sans capote.
    
    J'adore ce moment où mon gland va goûter la texture de sa chatte.
    
    elle est blonde, assez grande. Très soignée.
    
    Ses yeux gris-bleus quelque peu cernés expriment une certaine lassitude.
    
    Genre Chanel Carreira, pour les connaisseurs.
    
    Son parfum ne me plaît pas, il n'est pas floral, mais un peu artificiel, et trop prononcé.
    
    Sa poitrine, de taille moyenne, tombe un peu.
    
    avec 20 ans de moins, elle devait ressembler à la jolie secrétaire standard qui trompe son mari pour des restaurants chics et l'agrément d'une nouvelle queue, avec si possible une carte de crédit bien garnie au bout.
    
    ça y est, je suis sur elle. Je baisse les yeux.
    
    Je vois ma queue arquée vers sa touffe châtain clair.
    
    Couchée, elle n'a presque plus de seins.
    
    Ses lèvres bien dessinées sont légèrement repulpées au Botox. Cela se remarque pour un oeil expert.
    
    Une bonne salope qui se prend de la bite jeune l'après-midi, ce qui est risqué, car son mari n'est pas un plaisantin. C'est un jaloux. Il a de quoi, le pauvre.
    
    je suis entré dans le con. Bon dessert, bonne salope mûre.
    
    Une peau très douce, la croupe charnue, mais assez molle, comme le reste.
    
    ça y est, Katharina, je t'enfile.
    
    Je savais que je ne tarderais pas à te la mettre.
    
    Dans le groupe où nous nous sommes côtoyés, elle était ravie de parler avec moi. Nous ne pouvions le faire qu'en allemand, mais je ...
    ... sentais que le contenu de la conversation importait peu.
    
    Le premier rendez-vous n'était qu'un prétexte. Le café l'après-midi et la promenade ont rapidement convergé vers ce que nous cherchions.
    
    nous n'avions pas grand-chose à nous dire.
    
    Nous sentions qu'avec une bonne érection pulsant dans sa moule, les mots deviendraient inutiles.
    
    A peine arrivée chez moi, la langue de ma vieille maîtresse se promenait entre mes lèvres.
    
    -Tu veux boire quelque chose? tu vas bien?
    
    après quelques banalités, on passait très vite au sexe. Il n'y avait pas beaucoup de temps. Elle était venue avec sa petite voiture, pendant que son mari travaillait. Même si elle prétendait qu'il y avait beaucoup de sentiments entre nous, et beaucoup de choses à partager, elle venait pour se faire mettre.
    
    Cette femme assez tristement mariée, au quotidien routinier, s'épanouissait en faisant la salope. Elle rajeunissait, se déployait comme une fleur lorsqu'elles se mettait à genoux sur une chaise, et qu'elle se regardait dans le miroir en train de se faire enfiler.
    
    Ma bite pulsait entre ses jolies fesses blanches et molles. Elle se retournait pour me regarder avec un sourire coquin.
    
    Quand elle arrivait, on s'embrassait debout dans l'entrée de mon appartement.
    
    Pour ne pas faire tout le temps la même chose, c'est-à-dire l'enfiler sur le lit, je sortait ma queue, écartait sa culotte et me réchauffait le bout du gland dans sa chatte toute chaude.
    
    si je sortais ma queue pendant nos baisers, ...
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