Professeur, mais pas maîtresse - Partie 1
Datte: 31/03/2019,
Catégories:
ff,
fplusag,
profélève,
école,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Bijanus, Source: Revebebe
... restée plantée à côté d’elle.
— Marion ! Pas facile de se souvenir de tous ces prénoms, dis-je en fuyant son regard et m’attardant sur Marion.
J’essaie de parler pour me donner une contenance après cette situation un peu embarrassante. Suzie sourit de nouveau avec un air sûr d’elle ; elle se retourne et me dit en quittant la classe, Marion toujours accrochée à ses pas :
— À vendredi !
Ses yeux plantés dans les miens.
—ooOoo—
Le vendredi suivant, je me prépare de la même façon. Le même tailleur à la jupe au-dessus du genou et bien ajustée sur mes fesses, un chemisier blanc et, bien sûr, mes éternels escarpins à talons hauts sans lesquels je ne sais plus marcher. Je suis bien décidée à ne plus me laisser perturber par mes deux donzelles. De plus, j’ai bien aimé cette première journée de cours et je regrette déjà que cela ne dure que trois mois.
Sans surprise, je retrouve Suzie et Marion assises au premier rang, en bout de rangée, près de la fenêtre. Le regard de Suzie est toujours aussi intense quand elle me regarde, et splendide aussi. Elle fait la conversation à Marion en me regardant. Comme je suis habillée comme la semaine passée, elle doit parler du manque d’originalité de ma tenue.
La matinée était encore fraîche pour ce mois d’avril mais le soleil sorti, il commence à faire très chaud derrière la vitre. Je commence à transpirer fortement sous la veste de mon tailleur. J’entrouvre la fenêtre qui est à côté de Suzie et pose ma veste sur le bureau ...
... qui est juste en face des deux filles. Une sensation de fraîcheur immédiate me comble, je respire enfin.
Je vois Suzie se tourner vers sa copine et cette fois-ci j’entends distinctement ce qu’elle dit :
— T’as vu la paire qu’elle se paye ? Avec sa veste, je n’imaginais pas qu’elle avait une paire de nichons pareils.
— Ouais, dis donc….
— T’es battue à plate couture ; avec tes lolos, y a pourtant déjà de quoi s’amuser.
L’ouverture de la fenêtre a dû créer un effet acoustique inattendu. Le courant d’air porte probablement le son vers mon oreille même si elles parlent à voix basse et me permet d’écouter leur conversation sans qu’elles s’en doutent. J’entends de nouveau Marion :
— On voit son soutif à travers la chemise, avec le soleil : comme tu dis, il est bien rempli…
— Ouais, c’est excitant de la mater comme ça ; d’ailleurs, ça me donne des envies.
Ces dernières années passées à m’adonner aux plaisirs de l’exhibition m’ont appris à regarder un point sans avoir à le fixer directement. Du coin de l’œil, je vois la main de Suzie se glisser dans le corsage de Marion, défaire les boutons du haut et plonger sur sa poitrine.
— Oh non ! Pas ici. Si elle nous voyait… couine Marion
— Je t’ai dit que j’avais envie.
— Mais elle va nous voir.
— C’est toi qui décides de quelque chose, maintenant ?
— Euh non… je sais bien mais… Si elle nous voit.
— Vu comme elle nous regarde déjà, j’ai plutôt dans l’idée que ça lui plairait.
Pendant toute cette scène, je suis ...