Qui t'a fait jouir ? Ton mari, ou un inconnu ?
Datte: 31/03/2019,
Catégories:
fhh,
plage,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
jeu,
attache,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... de mes mains, de les mettre dans sa bouche. Mais je ne l’ai pas fait, toujours de crainte qu’elle reconnaisse mes mains. J’ai juste passé le dos de ma main sur ses cuisses, son ventre, ses flancs. Son corps semblait électrisé, il frémissait sous ma main. Avant de partir, j’ai pris ses seins dans mes mains, et j’ai serré fort. Elle a crié, de plaisir ou de surprise, je ne sais pas. Je voulais qu’elle croie que j’étais un inconnu qui avait voulu connaître tout son corps avant de la quitter. Et puis je suis parti, la laissant là, inerte.
Avant de remonter, j’ai pris mon temps. J’éprouvais toujours les mêmes sentiments : de l’excitation, la satisfaction de l’avoir faite jouir, et en même temps de la colère, de la jalousie. Si elle m’avait reconnu, très bien, il était normal qu’elle ait pris autant de plaisir, que son corps ait été si sensible à mes caresses. Mais si elle ne l’avait pas reconnu ? Alors, elle s’était offerte entièrement à un inconnu, sans la moindre retenue, l’avait laissé goûté son anus, ses doigts de pied, avait joui… J’étais pris à mon propre jeu, et elle aussi peut-être. Ça fait drôle, après tant d’année de vie commune, de découvrir sa femme sur un jour nouveau. Et si j’avais voulu lui faire l’amour après sa jouissance, aurait-elle refusé ? Je n’en étais pas certain. Elle aurait donc laissé un inconnu jouir en elle, peut-être même aurait-elle eu une deuxième orgasme… Je me suis surpris à la traiter de salope. Et en même temps, ce que j’avais découvert ...
... d’elle m’excitait.
Je me suis lavé les mains pour enlever toute odeur, j’ai fumé une cigarette et bu un verre pour qu’elle ne reconnaisse pas le goût de son sexe sur ma bouche, j’ai laissé passer une chanson entière, et je suis allé la retrouver. J’avais remis mes mocassins en bas de l’escalier, pour qu’elle entende le bruit de mes pas. Malgré ses mains liées dans le dos, elle avait réussi à se mettre sur le côté, presque en position fœtale, jambes repliées sur le ventre et dos courbé. Je n’ai pas allumé la lumière tout de suite. J’ai dénoué le cordon qui retenait ses mains, ainsi que le foulard qui masquait ses yeux. Elle est venue se blottir dans mes bras, a embrassé ma bouche, a mis son nez dans mon cou. J’ai compris qu’elle essayait de retrouver mon odeur. J’avais gagné, ou perdu, je ne sais pas : elle ignorait qui l’avait faite jouir !
J’en ai eu aussitôt confirmation :
— Il paraît que tu as été très bien. J’ai même entendu des compliments sur toi. Venant d’un connaisseur, ça fait plaisir. Félicitations.
— C’était toi ?
— Non, c’est à toi de me le dire
— Je ne sais pas. J’ai cru reconnaître ton odeur, ta peau aussi. Mais pas ta bouche.
— Tu ne savais pas qui te caressait, mais tu as joui quand même ?
— Oui.
Elle semblait désemparée par cette révélation. La pointe de jalousie est revenue en moi. Ma femme s’était livrée totalement, jusqu’à son anus, à un homme dont elle ignorait s’il était son mari ou non… Je croyais maîtriser ce jeu. Je découvrais qu’il était ...