Plongée dans le libertinage 2
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Couplepolisson, Source: Hds
... s’il y a un couple ou non, ou si c’est un quatuor, mais franchement, peu importe. Ils nous regardent et ça m’excite plus encore… Comme toi, je le sens à ta fluidité !
Nous bougeons nos bassins en rythme et je vois des mains d’hommes se glisses sous le paréo de la femme qui nous observe avec eux. En un rien de temps elle se retrouve nue avec des mains partout sur elle et en elle. Ils gémissent, c’est excitant de les entendre, et encore plus grâce à tes mouvements et la vue de tes fesses qui se soulèvent et retombent sur moi, à ton vagin qui enserre mon sexe. La pression monte.
Je te demande de passer en levrette, j’ai envie, enfin de laisser aller ma jouissance, et c’est de cette manière que je te sens le mieux, que chacune de tes contraction musculaire me subjugue, et que je peux aller au plus profond de toi.
Nous changeons donc, et je vois que la femme qui nous regardait est maintenant penchée en avant, les mains sur le rebord du matelas de la pièce (elle est donc entrée, mais sans jamais s’avancer vers nous, respectant ainsi notre désir), un homme la pénètre pendant que les deux autres la caressent et l’embrassent.
Tu es tellement excitée qu’un seul délicat coup de rein me suffit à te pénétrer totalement. Nous entamons alors notre chorégraphie sexuelle, avec ce quatuor à moins d’un mètre de nous.
Je n’en peux plus, je sens que je vais jouir d’un moment à l’autre. Alors je ressors mon gland, puis le pousse en toi sans avancer plus. Je recommence ainsi ...
... plusieurs fois. A chaque fois, je te sens un petit peu plus serrée. De temps en temps, je donne un coup de rein plus énergique que les autres afin de glisser totalement en toi. Puis je recommence. Je veux que ton plaisir soit total, je veux voir sur ton visage cette expression de béatitude après l’orgasme. Je le sens qui monte, qui s’approche, te caresse du bout de ses doigts, pose ses mains, se rapproche encore pour finir par prendre totalement possession de toi au moment où tu lâches un grand cri de jouissance, que tu me serres comme jamais, et que moi aussi, au sommet de mon extase, je finis par exploser au fond de ton couloir du plaisir.
Nous nous effondrons tous les deux côte à côte sur le matelas, épuisés, ivres de plaisir.
Le quatuor continue son activité comme si de rien était, les hommes ont (plusieurs fois ?) échangé leurs rôles. La femme tend un bras vers toi alors que nous sommes enlacés en train de les regarder.
• J’aurais beaucoup aimé, mais là je n’en peux plus, j’ai besoin de me reposer.
Nous les observons ainsi quelques minutes puis nous habillons, ou plutôt, mettons respectivement paréo et serviette, direction les douches (nous devons nous doucher au moins 10 fois lorsque nous venons ici !
Nous fumons une cigarette, nous habillons, vraiment cette fois, aux vestiaires, puis prenons le chemin du retour.
Avant de monter dans la voiture, je t’enlace, et te serre fort contre moi.
• Je t’aime ma chérie, j’espère, mais je pense que c’est le cas, que tu ...