1. Délicieux apprentissage part 1


    Datte: 30/03/2019, Catégories: hplusag, extraoffre, cocus, inconnu, vacances, fsoumise, hsoumis, fdanus, fsodo, init, Auteur: Alteregaux, Source: Revebebe

    ... humide pendant que l’homme soupirait d’aise. Je réalisai qu’elle ne m’avait jamais prodigué une caresse buccale aussi torride auparavant, ce soir avec un inconnu elle agissait comme une vraie salope. Je bandais de plus en plus fort. Le vieux exigea qu’elle le suce encore un moment puis il se dégagea.
    
    — Elle est belle ma queue ? Tu l’apprécies ?
    — Oui, elle est grosse.
    — Plus grosse que celle de ton mari j’imagine ?
    — Oui plus grosse, je n’en ai encore jamais eu d’homme avec un sexe comme le vôtre.
    — Alors, passons aux choses sérieuses.
    
    Le vieux la releva et la plaça à nouveau sur le lit dans la position précédente, à quatre pattes, offerte en levrette. Il caressa sa vulve et constata que son excitation avait encore augmenté.
    
    — Tu es trempée, salope. Je vais te prendre comme une chienne. Tu es toujours partante, pas de regret pour ton petit cocu de mari ?
    — Non, Monsieur, c’est lui qui le demande. Je veux que vous me preniez.
    — Avec grand plaisir ma belle. Regarde le mari, ta jolie épouse est prête pour la saillie. Je vais te montrer comment tu dois prendre ta femme et comment la faire jouir, retiens bien la leçon.
    
    Le vieux s’approcha par derrière et dirigea son engin vers le sexe luisant de ma femme. Son gland glissa dans les replis de sa vulve et commença à la pénétrer lentement. Il dilata de son énorme pieu son étroit fourreau. Il s’enfonça progressivement en elle, comme s’il voulait apprécier chaque centimètre conquis dans l’intimité de sa partenaire. ...
    ... Elle gémit sourdement, le visage crispé. Lorsqu’il fut entièrement entré en elle, son gros bide s’écrasa contre ses jolies fesses, il commença de lents et amples va-et-vient en la maintenant par les hanches.
    
    — La vache, elle est étroite la salope ! Elle n’a pas dû connaître beaucoup de grosses bites. Son petit vagin me serre bien la queue, c’est délicieux.
    
    Sandrine poussait un petit cri à chaque coup de rein de son partenaire. De ma place, je pouvais voir son gros chibre aller et venir dans le sexe de ma femme, ressortant presque entièrement à chaque mouvement. Epais, turgescent, luisant de cyprine, il replongeait l’instant d’après encore plus profondément en elle. Mon excitation était à son comble, je bandais à m’en faire mal. Mes mains étaient solidement attachées, je ne pouvais absolument pas me soulager. J’étais condamné à regarder ma chère et tendre se faire défoncer par ce vieux cochon sans même pouvoir y prendre du plaisir.
    
    Il la pilonnait en cadence, énergiquement, virilement. Sandrine encaissait ses coups de boutoir et semblait apprécier la manière dont Robert la possédait. Elle haletait, le visage empourpré, les yeux mi-clos et gémissait sourdement lorsqu’il accélérait ou changeait de rythme.
    
    Le vieux abandonna ses hanches pour saisir ses seins qui se balançaient au rythme de la pénétration et se mit à les pétrir tout en continuant à la baiser. De temps à autre, ses mains quittaient sa poitrine pour caresser son pubis, ses cuisses au travers du nylon de ses ...
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