1. Délicieux apprentissage part 1


    Datte: 30/03/2019, Catégories: hplusag, extraoffre, cocus, inconnu, vacances, fsoumise, hsoumis, fdanus, fsodo, init, Auteur: Alteregaux, Source: Revebebe

    ... voile noir maintenus sur ses cuisses par une large jarretière en dentelle. Elle libéra sa lourde poitrine en dégrafant le soutien-gorge puis fit glisser son string le long de ses jambes avant de s’en débarrasser de la pointe de son escarpin. Elle faisait face à l’homme, nue et vulnérable, uniquement vêtue de ces accessoires qui la rendait encore plus désirable.
    
    — Magnifique, j’ai rarement vu un aussi joli spectacle. Ta femme est une vraie merveille, je ne sais pas si tu sais l’honorer comme il se doit mais ce soir elle va être prise comme elle le mérite.
    
    Il s’approcha et se tint debout à côté de Sandrine qui gardait les yeux baissés en attendant la suite. Il passa une main dans son dos et descendit lentement jusqu’à ses fesses qu’il commença à caresser d’abord doucement puis de plus en plus fermement. De son autre main, il prit en main ses seins lourds et fermes, les soupesa, les malaxa, passant de l’un à l’autre en les pétrissant avidement.
    
    — Quel âge as-tu ?
    — 36ans, Monsieur.
    — Des grossesses ?
    — Une seule.
    — Quel est la taille de ta poitrine ?
    — 95C
    
    Sa main descendit le long de son ventre et s’attarda longuement sur son pubis entièrement lisse et épilé.
    
    — Tu t’épiles toujours intégralement ?
    — Oui, mon mari aime beaucoup.
    
    Sandrine avait passé la matinée dans un institut et avait testé l’épilation traditionnelle qui laisse la peau douce et satinée. J’avais entrevu le résultat mais c’était Robert qui maintenant en profitait.
    
    — Je te remercie ...
    ... Monsieur le mari, j’adore les minous lisses et doux. Ecarte les jambes.
    
    Le vieux glissa progressivement sa main entre les cuisses de mon épouse, il insinua ses doigts boudinés entre ses lèvres intimes dépourvues de toute pilosité et la caressa doucement. Elle étouffa un soupir. Ses doigts s’enfoncèrent plus profondément et trouvèrent l’entrée de son vagin. Lentement mais inexorablement il introduisit un doigt dans son sexe et l’enfonça entièrement. Sandrine poussa un petit cri.
    
    — Tu mouilles, salope. Tu aimes ça ?
    — Oui, Monsieur… Je suis assez excitée.
    
    Il fit coulisser son doigt dans son intimité pendant que de son autre main, il continuait à lui pétrir les fesses.
    
    — Tu réagis bien. Nous allons poursuivre cette petite discussion mais d’abord, tu vas prendre une position plus adéquate.
    
    Il dirigea Sandrine vers le lit et il la fit s’installer au bord du matelas, à quatre pattes, cambrée, en appui sur ses avant-bras, les cuisses largement écartées. Dans cette position, offerte, elle ne cachait rien de son intimité et ses seins ballotaient librement sous elle.
    
    — Voilà, regarde ta femme dit l’homme en la désignant. La vois-tu ? Elle s’offre comme une pute.
    
    La superbe jeune femme que je contemplais, nue à l’exception de ses bas et de hauts talons, sensuelle, exhibée et offerte de manière indécente devant ce vieux cochon ressemblait à une héroïne de Giovanna Casotto. Ma queue s’animait et se redressait.
    
    — Elle est belle et désirable.
    — Ce soir, elle n’est pas ...
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