Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (7)
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory
... est plutôt du genre docile, effacé. Tu ne m’en veux pas Mat de dire cela... Bref, son nouveau mec est plutôt du genre dominant. Déjà physiquement c’est plus dans mon genre que dans le tien, Mat. Tu connais le père de Mat, Stéphanie ?
— Non du tout.
— C’est la copie conforme.
Je n’en revenais pas. Je savais que ma mère avait un nouveau gars dans sa vie mais elle ne me l’avait jamais présenté. J’apprenais aussi cette histoire de cours de sport. Je ne savais pas quoi en penser.
La soirée s’est poursuivie sans rien de nouveau. On est finalement allés se coucher, Karim a commencé à se balader en boxer pour aller se laver les dents, et Stéphanie l’a aidé à faire le lit dans la chambre d’amis. Il me semblait qu’elle ne pouvait se retenir de l’admirer. Il était toujours aussi beau et impressionnant. Je lui ai juste dit qu’il pourrait faire attention :
— Tu pourrais t’habiller Karim quand même.
— Oh c’est bon Mat, je suis en boxer là. Comme à la piscine.
— Mais oui Mat, et puis j’en ai vu d’autres tu sais.
Stéphanie ne m’avait jamais appelé Mat. Comme un électrochoc, j’ai pensé à Charlotte qui surnommait son fiancé « son gentil petit fiancé » suite à une suggestion de Karim.
— En parlant de maillot, ça me donne une idée : ce weekend on devrait emmener Karim aux bains de Lavey.
— Les sources d’eau chaude près de Montreux ?
— Oui, je suis sûre que ça te plairait, c’est magnifique et très sympa.
— Super idée, ça me dit bien. Ta copine est pleine de ...
... bonnes idées Mat.
— Eh eh, merci Karim. Bon je vais me coucher. Bonne nuit les garçons.
— Moi aussi, bonne nuit Karim.
— Bonne nuit les amoureux. Et Mat, si tu t’offusques pour le boxer, fais attention cette nuit, j’ai l’habitude de dormir nu.
Stéphanie a ri, moi non. Karim a ri. On s’est couchés.
Au lit Stéphanie m’a juste dit :
— Pourquoi tu ne m’as pas dit qu’il venait ?
— Je ne le savais pas.
— Vous deviez diner ensemble demain, tu le savais ça.
— J’ai oublié c’est tout.
— Tu ne me parles jamais de tes potes ou de ta famille. En tout cas je suis contente qu’il soit venu, sinon je ne l’aurais pas vu. Et je n’en aurais pas appris autant sur toi.
— Oui j’ai vu, tu avais l’air contente surtout quand il était en boxer tout à l’heure !
— Pfff... ne sois pas ridicule mon chéri. Je suis contente d’en savoir plus sur l’homme que j’aime.
— C’est juste que je préfère ma vie maintenant.
— Ah oui ? Et pourquoi ça ?
Stéphanie s’est collée à moi, m’a embrassé, sa main est venue chercher mon sexe ; à peine m’avait elle effleuré, que je m’étais mis à bander, comme à chaque fois.
— Que préfères-tu dans ta vie de maintenant ?
— Toi !
— Mmmmmm
On s’est embrassés amoureusement, je la caressais, elle aussi, elle me masturbait, et je suis venu assez vite, sa main couverte de mon sperme, elle n’a rien dit, l’a essuyé avec des mouchoirs et m’a dit :
— Lèche moi mon amour, j’ai trop envie.
Je l’ai léchée comme jamais, elle mouillait ...