1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1179)


    Datte: 29/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... couleur que la robe ornée la taille du côté gauche, le bas de la robe effleurant le sol. Nous l’attendions côte à côte au haut du perron. Le Maître était en smoking noir impeccablement bien habillé et Il se tenait dans une posture parfaitement droite, marquant ainsi de la dignité et un impressionnant charisme. Je crois bien que c’était la première fois que je ne voyais pas une haie d’honneur de chaque côté des marches composée des chiens et chiennes du Cheptel du Noble car comme le Châtelain l’avait dit, il voulait que le monde D/s apparaissent uniquement après le passage en mairie du village et donc pas avant le passage à la chapelle du Château. Quand Son oncle gravit les marches, son regard harponna le mien. Il avait la même couleur, la même intensité que celui de son neveu ! On aurait cru voir le Maître mais avec quelques années de plus, les mêmes traits, le même visage en un peu plus ridé. J’avais l’impression que son regard (bleu comme celui du Maitre) essayait de s’immiscer en moi, de lire en moi. Malgré le fait que j’étais habillée, je me sentais plus nue que jamais. On ne pouvait pas douter de son statut de Dominant et instinctivement, je baissais les yeux. Son regard changea au moment de serrer ...
    ... chaleureusement son neveu dans ses bras, dans une longue accolade forte en intensité montrant le bonheur des deux Marquis à se retrouver. Leur échange verbal était ponctué de chaleureux mots de joie sincère et réciproque décrivant leurs retrouvailles… Le regard d’oncle Louis reprit cette intensité envers moi au moment de me faire un baise main digne de la cour du roi, tout en me fixant dans les yeux.
    
    Nous suivîmes Marie, qui attendait derrière la porte pour nous conduire dans le Petit Salon, où elle avait fait préparer un apéritif avant que nous n’allions dîner. Les deux Nobles étaient assis dans de grands fauteuils confortables, tandis que j’étais prêt du Maître dans un fauteuil un peu plus modeste. La conversation tourna autour des activités des deux hommes, de tout ce qui avait pu se passer dans leurs vies depuis les quelques années à rattraper ! Mais peu de temps après s’être installé autour de la table de la Grande Salle à Manger, après un moment de silence, Monsieur le Marquis Louis d’Evans se tourna vers son neveu et lui demanda sans autre préambule :
    
    - Mon cher Edouard, aurais-tu honteusement abandonné la tradition de nos ancêtres ? Je ne vois aucun chien, aucune chienne pour agrémenter notre dîner !? …
    
    (A suivre…) 
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