3 ans de pénitence - 1
Datte: 28/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Mia-michael, Source: Hds
... brandir un martinet sous le nez. Un manche et 6 ou 7 lanières de cuir, aie, aie!!
Ensuite il pose sa large main sur mes fesses, en demandant:
— C'est-y qu’vous ête prête, mamzelle Aurore?
— Mmmmfffff (NON!)
Shlllaaa!
Le martinet siffle dans les airs et les lanières brûlantes s'éparpillent sur mes fesses. Ouch! Qu’est-ce que ça fait mal!
Ma belle mère lui dit:
— Pour commencer, laissez passer une minute entre chaque coup, c'est comme ça qu'on apprécie le mieux le fouet.
Elle ajoute:
— Je vous dirai quand ce sera le moment... Allez-y.
Shlllaaa!
— Mmmmfff!
Ça fait trop maaal!
Les spectateurs doivent regarder leur montre, parce que presque tous disent:
— Allez...
Shllaaa!
Alors moi:
— Mmmfffffff!
Et ça recommence:
— Allez...
Shllaaa!
— Mmmfffffff!
— Allez...
Shllaaa!
— Mmmfffffff!
Oh! putain mon derrière est en enfer, Satan enfonce sa fourche dans mes pauvres petites fesses.
Non, Satan est ici, dans le corps de ma belle mère! D’ailleurs elle dit:
— Mon brave Alphonse, à présent, vous pouvez accélérer. Mais frappez aussi ses cuisses.
Alors les coups pleuvent, depuis le haut de mes fesses jusqu'à la pliure de mes genoux. Je prends bien une cinquantaine de coups de martinet. Cinquante fois sept, ça fait quelque chose comme trois cent cinquante traces rouges sur mes cuisses et mes fesses… C'est terriblement douloureux.
Enfin, elle dit:
— Vous pouvez arrêter Alphonse.
Les spectateurs ...
... applaudissent!
Comme je continue de me tortiller sur la table, sans le vouloir, mes fesses s'ouvrent et se ferment.
Ma belle mère ordonne:
— Détachez-la et enlevez son bâillon.
Ils me remettent debout, je tremble sur mes jambes, je gémis:
— Ça fait maaaaallll…
Ma belle mère répond:
— Vous êtes punies par là où vous avez péché. Venez ici, vilaine fille, avec votre jupe relevée.
Mon père la félicite:
— Vous avez eu une très bonne idée, chère amie, on aurait dû faire ça depuis longtemps, elle serait mieux élevée.
— Avec votre accord, on recommencera à la moindre incartade.
Je suis là devant elle, à écouter leur infâme conversation.
Elle se tourne vers moi pour demander:
— Vous avez quelque chose à dire, Aurore?
— Pardon belle maman... snif...
— Remerciez aussi Alphonse, il vous a très bien fouettée.
— Merci Monsieur Alphonse.
Il me sourit de presque toutes ses dents, en disant:
— Tout le plaisir a été pour moi, vingt djiu!
Ma belle mère lui dit:
— Comme on va lui serrer la vis, à cette vicieuse, à mon avis, on aura régulièrement recours à vos services.
Puis elle se tourne vers moi:
— Allez vous mettre au piquet contre le mur et tenez votre jupe relevée jusqu’à la taille, pour que tout le monde puisse voir votre gros derrière tout rouge.
Je le fais immédiatement.
Elle crie:
— Et que votre nez touche le mur, sinon on recommence.
Je me colle contre la paroi. Mes fesses et mes cuisses me font un mal de chien.
Ma ...