L'oncle de ma meilleure amie (2) - Histoires de Sexe

L'oncle de ma meilleure amie (2)

... différents habits en attendant de voir ce qu’il avait prévu pendant ce week-end.

Nous sommes partis en voiture pour la gare ou nous avons pris le train direction Paris, puis un taxi pour Paris. Il avait réservé une chambre dans un hôtel 3 étoiles.

Arrivés dans notre chambre, il me plaqua contre le mur.

— Je suis excité, j’avais envie de toi dans le train. En plus, tu as mis une robe très sexy, j’ai vu la naissance de tes seins et le haut de tes cuisses tout au long du voyage, je n’en peux plus, je vais te baiser tout de suite.

Je sentais contre mes fesses une grosse bosse très dure, son sexe devait être énorme. Il me souleva ma robe et commença à me caresser les fesses, laissa descendre mon string à mes pieds, descendis le haut de ma robe au niveau de mes avant bras pour voir mon soutien gorge et libera mes seins. Déboutonna son jean et le laissa tomber avec son boxer à ses pieds, me retourna et se colla contre la porte.

— Suces moi !

Son sexe était déjà gros, je le pris dans ma main pour le masturber tout en le léchant de haut en bas. Puis je le pris goulument dans ma bouche et commença des vas et vient. Il gémissait au fur et à mesure des mes accélérations. Il me releva et me colla contre la porte, me souleva ma jambe droite et approcha son gros gland de mon ouverture déjà trempée. Il me pénétra d’un coup sec qui me fit pousser un cri de plaisir intense.

— Vas y chérie, cries, jouies, tu m’excites

— Oh !! Ouiiiiiiiiii

Nous étions portés par nos ...

... plaisirs mutuels et intenses, nous nous sentions seuls au monde. Je gémissais très fort à chaque coup de ses reins, tout comme lui. Il me retourna pour me prendre en levrette. Au bout de quelques coups de reins, il s’approcha de mon orifice pour une sodomie. Il enfonça son gland lentement et tendrement comme à son habitude puis commença des petits coups secs et virils qui me firent crier. Je sentais ses couilles claquées sur ma chatte fortement à chaque accélération. Je sentais la jouissance m’envahir quand je ne puis me retenir et je me suis mise à jouir très fort avec des cris de plaisirs intenses. Michel se mit à jouir fort en m’entendant et cria lorsqu’il éjacula par de grands jets profonds.

Après une bonne douche, nous sommes descendus pour aller au restaurant. Michel avait une belle chemise blanche et un jean noir cintré qui moulait bien son sexe. Moi, j’avais une guêpière noir et rouge et une jupe noire mis cuisses.

Au restaurant, j’avais l’impression que certains clients nous observaient. Plus tard dans la soirée, lorsque nous sommes allés marcher dans le jardin de l’hôtel, Michel m’avoua que les clients des chambres voisines avaient du nous entendre.

— Non ! Oh mon dieu !

— Ne t’inquiètes pas, ils sont aussi là pour un week-end en amoureux, nous allons bien les entendre aussi. De toute façon, en m’entendant te baiser tout le week-end, ça va leur donner des envies.

— Sûrement ! Je commence à avoir un peu froid, on rentre ?

— Oui et moi j’ai de nouveau ...