Marjorie
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
fh,
caférestau,
fsoumise,
double,
fdanus,
attache,
couple,
fsoumisah,
Auteur: Nikooooooooooooo, Source: Revebebe
... Marjorie abdique et retourne s’asseoir avec une certaine maladresse. La vibration est toujours au maximum. Elle ne me regarde même plus. Elle se trémousse sur sa chaise. Ses deux mains sont crispées sur les accoudoirs.
C’est magnifique de la voir ainsi respirer profondément. Je pense que l’on atteint ses limites, elle doit être aux bords de l’orgasme. Je ne sais pas ce qui va se passer. Va-t-elle jouir en silence ? Va-t-elle gémir doucement ? Gardera-t-elle les yeux ouverts ? Cette situation me fait bander, j’ai envie de sortir mon sexe et de me branler tellement cela m’excite.
Mais déjà sa copine est de retour, Marjorie est toujours immobile dans la même position, je ne veux pas prendre trop de risques non plus, alors je redescends au mini la puissance des vibrations.
Esther reprend place, pendant que Marjorie retrouve ses esprits. Je décide d’en rester là et de rentrer. Je laisse le gode actif, ne sachant pas si les vibrations vont continuer quand je serai hors de portée du signal.
Je rentre excité à l’appartement. Son retour me paraît indéfiniment long. Cela m’a largement permis de mettre la chaîne hi-fi en route sur une station quelconque, et de me munir d’un bandeau en tissu que je mets dans une poche de mon jean pour la suite de notre fin d’après-midi. Je me love sur le canapé et attends. Plein d’images défilent dans ma tête, toutes plus osées les unes que les autres sur ce que je lui prépare.
La voilà qui rentre. Je saute du canapé pour l’accueillir. ...
... Mais à peine la porte claquée :
— Espèce de salaud, hurle-t-elle, en me sautant à moitié dessus.
— Mais c’est toi, la chaudasse, qui ne sait pas se tenir en public ! je lui réponds.
Nous rigolons tous les deux, et cela se transforme en pseudo bagarre dans le couloir. Au fur et à mesure nous nous dévêtons, pour nous retrouver, elle, sans robe et moi, torse nu dans le salon. Je l’enlace et nous nous embrassons à pleine bouche. Mes mains caressent ses cheveux, sa nuque, ses épaules, et descendent jusqu’à l’agrafe de son soutif que je défais. Elle, comme pour se venger me griffe le dos avec ses ongles. Je la repousse et lui retire son soutif que j’envoie valdinguer quelques mètres plus loin. Je sors de ma poche la fameuse télécommande et la remet en marche. Marjorie lâche enfin un râle audible de plaisir. Je reviens vers elle, prudent, et prends ses seins entre mes mains. Je les soupèse et pince ses tétons entre mon pouce et mon index. Ma bouche embrasse puis suce un téton déjà durci.
Cette fois, c’est elle qui me repousse, mais se met aussitôt à genoux devant moi pour défaire ma ceinture et déboutonner un à un les boutons de mon jean. Quelle délivrance pour mon sexe qui n’a pas arrêté de bander. Lorsqu’elle fait descendre mon jean et mon caleçon, mon sexe jaillit dressé à quelques centimètres de son visage. Elle observe ce membre tendu, puis me regarde droit dans les yeux. Je finis d’ôter mes fringues moi-même et récupère le bout de tissu que j’avais mis dans ma poche ...